Facilities

En France, le secteur du mobilier d’occasion est en pleine croissance, notamment car il permet de réduire jusqu’à 80 % les émissions de CO2 par rapport à du neuf mais…

...

En France, le secteur du mobilier d’occasion est en pleine croissance, notamment car il permet de réduire jusqu’à 80 % les émissions de CO2 par rapport à du neuf mais aussi en raison de l’inflation et de la loi Agec, qui oblige les organismes publics à s’équiper a minima de 20 % de produits recyclés ou de seconde vie : des meubles d’occasion, reconditionnés ou surcyclés. Ainsi, plusieurs entreprises se sont spécialisées dans le secteur du mobilier professionnel de seconde main. Mais la difficulté majeure reste de pouvoir offrir au client un volume important de matériel afin de créer des univers cohérents et harmonieux, avec des bureaux, des chaises, des caissons et des armoires identiques pour chaque espace de travail. Pour répondre à ces attentes, les fournisseurs s’organisent, à l’image de l’entreprise Scop3, basée près de Montpellier et qui fournit toute la France grâce à un réseau de partenaires…

De plus en plus d’entreprises, notamment parmi celles qui proposent le télétravail (53 % selon le baromètre Parella-CSA 2023), décident de repenser l’am…

...

De plus en plus d’entreprises, notamment parmi celles qui proposent le télétravail (53 % selon le baromètre Parella-CSA 2023), décident de repenser l’aménagement de leurs espaces de travail. Les raisons ? Réduire le nombre de mètres carrés occupés pour faire des économies, s’adapter aux nouvelles manières de travailler et créer notamment des espaces de collaboration pour les salariés. Le bureau post-covid est à n’en pas douter un lieu à forte valeur collective, car les échanges sont plus féconds avec une présence physique. Cette réflexion sur la transformation de l’espace de travail doit se mener en coconstruction avec les employés, insistent les aménageurs, dont certains proposent des équipes de conduite du changement pour prendre en charge les projets de A à Z…

Qualité de services, démarche environnementale, politique RSE, flexibilité…, de nouveaux critères d’attractivité viennent arbitrer le choix des candidats, et notamment…

...

Qualité de services, démarche environnementale, politique RSE, flexibilité…, de nouveaux critères d’attractivité viennent arbitrer le choix des candidats, et notamment des jeunes générations, sur le marché du travail. Selon une enquête Ifop/WO2, 92 % des jeunes estiment que l’engagement environnemental d’une entreprise est important ou prioritaire dans leur décision de la rejoindre ; 62 % considèrent qu’il passe par l’amélioration de la performance énergétique (autoproduction, basse consommation…) ; 40 % jugent que cela doit se traduire par des bureaux à haute performance environnementale (faible empreinte carbone, optimisation des ressources, emploi d’énergies alternatives, gestion circulaire des déchets et de l’eau, respect de la biodiversité…). Ils sont également 85 % à affirmer que les bureaux d’une entreprise reflètent sa performance globale, et encore plus nombreux qu’ils contribuent à la satisfaction générale des salariés et à leur performance…

Au fil du temps, il est ainsi devenu impératif que l’espace de travail réponde à trois types de bien-être : physique, émotionnel et cognitif. Les entreprises s’en…

...

Au fil du temps, il est ainsi devenu impératif que l’espace de travail réponde à trois types de bien-être : physique, émotionnel et cognitif. Les entreprises s’en soucient de plus en plus et nombre d’entre elles réfléchissent à la meilleure manière de faire du bureau un lieu de collaboration, d’épanouissement, de créativité et de développement. Ainsi qu’un avantage compétitif pour attirer toujours plus de talents. L’espace au travail devient autant physique que social. Miser sur son uniformité n’est plus d’actualité. Il s’agit aujourd’hui de créer une gamme d’expériences qui permettent à chacun de choisir celle qui répond le mieux à ses besoins. Ce qui se traduit par une diversification d’espaces : des ‘places publiques’ (réunions générales), des ‘quartiers’ (petits groupes aux activités similaires), des ‘établis’ (projets collaboratifs ponctuels et limités dans le temps)…

Les nuisances sonores perturbent plus de la moitié des actifs (62% en région parisienne), qu’ils soient ou non soumis à des niveaux élevés. Et 20 % d’entre eux se dis…

...

Les nuisances sonores perturbent plus de la moitié des actifs (62% en région parisienne), qu’ils soient ou non soumis à des niveaux élevés. Et 20 % d’entre eux se disent incommodés même quand ils sont peu exposés, nous apprend le 7e baromètre Bruit et santé au travail réalisé par l’Ifop pour la Journée nationale de l’audition. Parmi ces actifs gênés par le bruit au travail, 50% déclarent que cela impacte leur vie privée. 88% d’entre eux déclarent ainsi souffrir de fatigue, lassitude ou irritabilité, et 81% de stress au travail. 61% sont même victimes de troubles du sommeil et 62% d’acouphènes. Les principales sources de bruit citées sont celles provenant de l’extérieur des lieux de travail, puis les discussions entre collègues, les appareils, les allées et venues et les ­conversations téléphoniques …