Informations Pratiques > secteur Informatique & Data

Informations Pratiques - Facilities, site du Facility management Informations Pratiques
secteur Informatique & Data


ACTIVITÉ

La gestion informatisée à trouvé sa place dans tous les métiers que pilotent les directions des Services Généraux. Là où les enjeux stratégiques et financiers sont les plus déterminants des progiciels dédiés ont vus le jour. Tel est le cas des outils de gestion de patrimoine, capables à la fois de piloter l’immobilier, l’exploitation technique des sites et les services aux occupants. Moins coûteux et moins complexes, les progiciels de gestion de flotte de véhicules s’imposent également dans les entreprises pour maîtriser ce type de dépenses. Enfin, dans les différents métiers qu’exercent les Directions de Services Généraux, des applications nouvelles apparaissent chaque jour. Les fournisseurs de services (soft) mais aussi de matériels (hard) sont de plus en plus nombreux à accompagner  leurs prestations d’une application client, centrée sur des fonctions de monitoring et de reporting. 

La gestion du courrier tire largement parti de l’informatique depuis l’émergence des outils de numérisation et des systèmes de gestion électronique des documents (pas stictement logicielles puisqu’elles exigent d’être reliées à des scanners ou des machines à affranchir).

Les spécialistes de l’accueil en entreprise proposent maintenant des outils informatiques permettant le reporting( salles de réunions, accueil des visiteurs, coursiers, etc…)

Par ailleurs, l’essor de l’informatique mobile, avec le succès des smartphones et tablettes, ouvre la voie à de nouveaux types d’application, tant pour les gestionnaires que pour les utilisateurs.

Les USA achévent actuellement la mise en œuvre de la virtualisation des postes de travail. La vertualisation résout notamment les problèmes de comptabilité logicielle en rendant accessible un ensemble d’applications depuis n’importe quel terminal.

En France, contrairement aux Etats Unis où le dispositif est institutionnalisé, les sociétés préfèrent fournir à leurs  collaborateurs un smartphone ou une tablette à usage exclusivement professionnel et restant la propriété de l’entreprise. C’est ainsi que les salariés ont couramment deux téléphones dans leurs poches. Une pratique courante qui n’exclue pas le Bring Your Own Device ( BYOD) car les équipements personnels sont souvent plus performant que leurs homologues « pros ». A ce jour, 78 % des sociétés autorisent l’usage d’appareils personnels à des fins professionnelles.

Rôle joué par le collaborateur

Il représente l’activité de la société quelque soit l’endroit où il se trouve. L’environnement de travail est défini non pas par rapport à un espace physique mais par l’ensemble des référents (services, assets, contractuels, financiers) qui lui sont attachés.

Processus au cœur du fonctionnement applicatif

Cette vision du management par les processus est transversale et dynamique contrairement à ce qu’on trouve dans les systèmes d’information immobiliers et patrimoine traditionnels (verticaux et statiques).

Les métiers de l’informatique

Administration de la direction informatique 

– Directeur des systèmes d’information
– Responsable des services fonctionnels de la direction informatique
– Responsable de l’exploitation informatique
– Responsable micro informatique
– Responsable de projet architecture et intégration grands systèmes
– Responsable d’un service informatique

Production : Ingénieur réseau et de l’exploitation informatique

– Analyste d’exploitation
– Technicien micro/réseau/messagerie
– Ingénieur système
– Administrateur de bases de données
– Administrateur sécurité
– Administrateur de site Web (Webmaster)
– Intégrateur d’exploitation
– Technicien d’exploitation

Expertise informatique

– Expert en exploitation informatique
– Expert en communication réseaux
– Expert méthodes/qualité
– Expert en sécurité des -systèmes d’exploitation
– Expert en technologie internet/multimédia
– Knowledge Manager
– Supply chain manager
– Web Marketer

Conseil informatique 

– Conseil en organisation
– Conseil en conduite du changement
– Conseil en progiciels de -gestion intégrée (ERP)
– Conseil/assistance à maîtrise d’ouvrage
– Architecte du système d’information

Études et développement informatique 

– Directeur de projet développement informatique 

-Chef de projet
– Ingénieur d’études/développement
– Analyste programmeur
– Analyste
– Responsable des études informatiques
– Concepteur de sites Web

Support et assistance aux utilisateurs 

-Correspondant informatique l’assistance aux utilisateurs 

-Technicien poste de travail
– Assistant technique clientèle
– Technicien télé-assistance

MÊTIERS

Il existe (en entreprise) de très nombreux métiers de l’informatique que l’on peut classer selon cinq grandes catégories.
Pour aider les responsables de services généraux dans leurs relations quotidiennes avec leurs homologues de l’informatique, voici quelques définitions de missions pour ceux qui ont la charge de superviser du personnel informatique.

Directeur système d’information
– Elabore et met en œuvre la politique informatique en cohésion avec la stratégie globale de l’entreprise.
– Propose les évolutions organisationnelles et techniques de sa direction.
– Suscite les évolutions de processus des autres directions opérationnelles et les outille.
– Elabore, le cas échéant, une politique d’externalisation ou d’appel à des prestataires.
– Propose (au niveau de la direction) les évolutions métier s’appuyant sur les technologies nouvelles (e-business, place de marché etc).

Responsable d’exploitation
– Supervise l’ensemble de la production et/ou de l’exploitation informatique de l’entreprise.
– Coordonne la réalisation de traitements informatiques dans les meilleures conditions de qualité, délais et coûts
– Organise, à cette fin, les ressources techniques et humaines du service exploitation.
– Veille à la fiabilité du système, à la sécurité des données; supervise la
maintenance des matériels et logiciels d’exploitation, et optimise les ressources informatiques.
– Développe l’automatisation afin d’en améliorer la productivité.
– Coordonne et anime le personnel d’exploitation.
Administrateur Système Expert, Architecte réseaux & télécoms
– Evalue les choix d’équipements en matière de serveurs et de systèmes d’exploitation, de télécom et de transmission de données.
– Définit l’architecture haut niveau du réseau, préconise les choix de protocoles, standards, matériels, fournisseurs.
– Conseille et assiste les équipes de maintenance et d’exploitation en cas de dysfonctionnement.
– Contribue à la mise en place de centres d’appels, d’intranets, des systèmes de messagerie, de visio-conférence, d’applications «-net mobile-», etc.
Technicien déploiement

– Installation des équipements et des mises à jour.

– Support technique aux utilisateurs.

– Traitement et gestion des incidents de premier niveau.

LÉGISLATION

Le développement de l’informatique a amené les autorités à réfléchir sur le délicat problème du respect des droits de l’homme et des libertés fondamentales.
Ainsi, le Conseil de l’Europe a-t-il érigé, dès Janvier 1978, un certain nombre de règles dans une convention « pour la protection des personnes à l’égard du traitement automatisé des données à caractères personnel » plus connue sous le nom de loi « informatique et liberté ».
Loi « Informatique et Liberté »
Article 1er. L’informatique doit être au service de chaque citoyen. Son développement doit s’opérer dans le cadre de la coopération internationale. Elle ne doit porter atteinte ni à l’identité humaine, ni aux droits de l’homme, ni à la vie privée, ni aux libertés individuelles ou publiques.
Article 2. Aucune décision de justice impliquant une appréciation sur un comportement humain ne peut avoir pour fondement un traitement automatisé d’informations donnant une définition du profil ou de la personnalité de l’intéressé.
Aucune décision administrative ou privée impliquant une appréciation sur un comportement humain ne peut avoir pour fondement un traitement automatisé d’informations donnant une définition du profil ou de la personnalité de l’intéressé.
Article 3. Toute personne a le droit de connaître et de contester les informations et les raisonnements utilisés dans les traitements
automatisés dont les résultats lui sont opposés.
Article 4. Sont réputées nominatives au sens de la présente loi, les informations qui permettent
sous quelque forme que ce soit, directement ou non, l’identification des personnes physiques auxquelles elles s’appliquent, que le traitement soit effectué par une personne physique ou par une personne morale.
Dans certains cas, la loi prévoit l’obligation de soumettre une demande de conception de fichiers auprès de la CNIL (Commission Nationale Informatique et Liberté). On recommandera aux responsables informatiques et/ou aux responsables de services généraux de prendre systématiquement la précaution de consulter la CNIL.

LEXIQUE

ATM (Asynchronous transfer mode) : technologie de transmission de données multimédia.
BPR (Business Process re-engineering) : refonte.
Client/serveur : développements informatiques permettant d’utiliser un poste puissant dédié (serveur) pour distribuer des données aux clients (postes clients).

Client serveur ou lourd  (au sens logiciel) : Se dit d’un logiciel qui propose des fonctionnalités complexes avec un traitement autonome. La notion de client lourd s’entend dans une architecture client/serveur contrairement au client léger. Le client lourd  dépend  du serveur  pour l’échange des données  et non pas pour le fonctionnement applicatif.

Cloud computing les échanges informatiques sont gérés et centralisés par des serveurs à distance. Les objectifs majeurs du « cloud computing » sont : la mutualisation des ressources, le paiement à l’usage, la modularité, la standardisation des fonctions proposées.
Data mining (forage de données) : utilise l’intelligence artificielle pour faire des rapprochements entre bases de données et détecter des corrélations non prévisibles.
Datawarehouse (magasin de données) : système permettant de stocker des données partagées par tous les utilisateurs de l’entreprise.
EDI (échanges de données informatisées) : système de codage de l’information pour mener à bien des échanges de manière informatique.
EIS (Executive Information System) : système d’aide à la décision (tableaux de bord, extraction et analyse de données).

Gestion d’événements (fonction centrale du groupware) : un événement déclenche une action automatique.
Groupware (travail de groupe) : logiciels permettant à plusieurs groupes de personnes de travailler sur un même document
HPC (HandHeld PC : ultraportable) : petit frère des portables. Orienté vers la communication à distance. Les systèmes d’exploitation sont des versions allégées des systèmes des ordinateurs de bureau (WS CE de Microsoft), ce qui permet un passage de l’un à l’autre de manière transparente.
Infocentre : outil permettant à l’utilisateur d’accéder aux données de l’entreprise de manière autonome.
Lan (Local area network) : réseau local.
NC (NetWork Computer) : terminal qui exploite des ressources par l’intermédiaire d’un réseau (Internet par exemple). Les machines disposent d’un écran, d’un clavier, d’un modem haut débit et d’un disque dur spécial. L’utilisateur exploite des
logiciels disponibles sur un serveur.
NOS (Network Operating System) : système d’exploitation réseau.
ODBC (Open Data Base Connectivity) : possibilité de communiquer dynamiquement entre logiciels. Les logiciels «
supportent » ODBC ou non.
OLE (Object Linking and Embedding) : technologie de Microsoft permettant de constituer des documents créés avec différents logiciels.
OPENDOC (nom de code : littéralement « document ouvert ») : technologie développée par IBM et Apple autour de la notion de document composite, sur le principe des composants logiciels.
 RAM (Random Access Memory) : la plupart des OS sont optimisés en 32 bits, mais l’émergence de systèmes 64 bits se fait de plus en plus importante. Grande vitesse de traitement, mode multitâches préemptif (font plusieurs actions simultanément sans ralentir et distribuent de manière optimisée les
ressources de calculs).
RNIS : réseau numérique à intégration de service.
h Exchange) : autocommutateur privé téléphonique analogique.

Routeurs : Élément d’interconnexion de plusieurs réseaux, le routeur assure un « routage » ;  une correspondance,  entre ces différents réseaux.
TCP (Transmission Control Protocol) : protocole de transport orienté connexion.

Wan (Wide Area Network) : réseau longue distance.

Workflow (flux de travail) : logiciel pour automatiser les procédures de travail entre plusieurs intervenants.


MÉTHODES

NOUVELLES TECHNOLOGIES

Elles rapprochent les services informatiques et les services généraux par les télécommunications
(réseaux, Internet / intranet, visioconférence et travail de groupe). Les responsables des services généraux, en tant qu’utilisateurs de ces technologies et fédérateurs d’informations, se doivent de les intégrer dans leur quotidien.


Quelles technologies intégrer ?
Si certaines paraissent évidentes et sont déjà utilisées (messagerie par exemple), l’évolution dans certains domaines offre des possibilités qui pourraient rendre de grands services en termes de gain de temps et d’efficacité.
Certaines peuvent avoir des conséquences directes sur l’évolution du métier des services généraux.


ADSL

Internet par liaison haut débit et permanente par l’intermédiaire de l’ADSL, du câble ou de la fibre optique. Les utilisateurs bénéficient d’une bande passante suffisante pour utiliser des services comme le téléchargement des images, les vidéo-formations, les conférences interactives…


ATM, Giga Ethernet

Technologie de transport à très haut débit en réseau local ou étendu. Le développement des réseaux des opérateurs grands publics leur permet aujourd’hui de disposer d’un maillage performant sur la totalité du territoire. Les interconnexions avec les filiales rendent ces liaisons internationales. Les opérateurs spécifiques et/ou historiques demeurent cependant plus performants.

THD (Très Haut Débit) fibre optique

THD est un réseau de fibre optique mutualisé (dit passif) mis à la disposition de tous les opérateurs de manière égalitaire , c’est à dire respectant les conditions de neutralité technologique et économique. La fibre optique permet de faire circuler 1 million de bits par seconde.

Biométrie

Utilisation de paramètres biométriques (étude quantitative et identification des êtres vivants) pour procéder à l’authentification de personne. Les  caractéristiques biologiques spécifiques à chacun telles que les empreintes digitales, l’iris de l’œil, la forme des mains, les traits du visage, etc, servent de clefs d’accès.

Visioconférence et Téléprésence
Deux modes différents : la visioconférence à plusieurs (en moyenne huit à douze
personnes) dans la même pièce, avec des moyens plus lourds et la communication par l’intermédiaire d’un micro (jusqu’à 6-personnes en moyenne en simultané, chacune derrière son micro équipé d’une caméra (cf. rubrique « Audiovisuel »)

INCIDENCE DIRECTE SUR LES SERVICES GENERAUX
 GED  – Gestion électronique de Documents 

Cette technologie permet de stocker sous forme numérique tous types de documents et d’y avoir accès par l’intermédiaire d’une interface utilisateur simplifiée.


Ged Cold 

GED produite uniquement à partir des documents informatiques.
– Production et diffusion de l’information améliorée, accès facilité aux documents.


Network computer 

Technologie permettant à l’administrateur informatique de contrôler l’environnement de l’utilisateur en l’obligeant à passer par ses services. On ne peut pas introduire de nouveaux programmes, de CD étrangers…, ce qui résout les problèmes de sécurité, de mise à jour des produits, d’harmonisation des parcs et de maintenance.
– Perte d’autonomie.
– Refonte des programmes existants.
– Facilité de maintenance.


Assistants numériques

Ces smartphones et tablettes numériques permettent  :
Travail sur le terrain avec des applications spécifiques (inventaires, anomalies…).
Récupération des agendas, carnets d’adresses des postes en local.

Utilisation de logiciels de traitement de texte, tableur, de géolocalisation (GPS)…

Outils transactionnels 

Data Ware house systèmes d’aide à la décision en temps réel. Tirent partie des données de l’entreprise. Famille de logiciels fournissant aux dirigeants des tableaux de bord synthétiques sur l’activité de leur entreprise (SAP…).


Groupware, workflow

En pratique, le travail de groupe est surtout utile pour les annotations de documents et leur circulation dans l’entreprise. La plupart des messageries actuelles offrent ces fonctionnalités en standard, de même que les GED.
– Accélération des délais de traitement des documents et des décisions (signatures électroniques, paiement des factures, accords d’engagements…).

Gestion du patrimoine mobilier, software
Pour la gestion et le suivi des parcs mobiliers, téléphonie, bureautiques….

A pour objectif de gérer de façon précise l’ensemble des biens de l’entreprise sur un référentiel unique tout en partageant l’information auprès des différents interlocuteurs ( Services généraux, direction des achats, comptabilité, informatique , etc). Permet de tenir à jour un inventaire mobilier, de réaliser des économies importantes, d’optimiser les déclarations d’assurance.

De l’avis des spécialistes, l’utilisation d’un logiciel de patrimoine se justifie à partir d’un parc immobilier d’au moins 5 000m2, mono-site ou non. Sur plusieurs sites, l’application permet de réaliser des benchmarks et ainsi détecter des anomalies ou de  décider de déménager dans d’autres locaux. Lorsqu’il  est utilisé sur plusieurs bâtiments, l’automatisation des tâches offerte par le logiciel est utile pour créer, par exemple, des alertes à l’échéance des contrats sur chaque site.

Le déploiement d’un logiciel de gestion de patrimoine nécessite entre trois et neuf mois, mais le retour sur investissement est rapide

Gestion de parcs en réseaux

Étendue des systèmes à tous les matériels contenant une puce électronique (imprimantes, reprographie, téléphones, machines à café…).
– Avantages : inventaire en temps réel, télé relève (maîtrise des consommations), refacturation automatisée (optimisation des coûts), alarmes sur incidents (gestion des interventions), téléchargement de logiciels (maîtrise du poste client).

 

Combien sa coûte?

Une prise informatiqueRJ 45 + (câblée) 115 à 130 €

Un câblage Catégorie 675 à 90 € par mètre linéaire

Réalisation d’une salle informatiqueou data center           environ 2 700 €/m2

1 chef de projet                               23 000 à 97 000 €/an

1 technicien  micro-informatique                    19 000 à 67 000 €/an

1 ingénieurréseau                               28 000 à 69 000 €/an

Routeur ADSL sécurisé                                420 €

1 routeur Wifi (étendre couverture)                                                42 €/mois

1 carte connexion                  35 à 80€

Liaison spécialisée           64 K bpsec = 535 €

                                                                                  512 K bpsec = 3050 €

Logiciel (Achat sans maintenance)

Solution de base de la gestion d’espace

(jusqu’à  50.000 m2)               30 000 €

Solution standard GMAO (25.000 équipements)                50 000 €

Portail de gestion des demandes collaborateurs        50 000 à 80 000 €

Système d’information complet SG + 

Direction immobilière (100 000 m2)                  150 000 €


ORGANISATION DES SERVICES GÉNÉRAUX

Il peut paraître évident que les bâtiments, ressources et services soient correctement organisés. Les Services Généraux  doivent pourtant souvent jongler avec des contextes variés pour une même situation. Ils travaillent avec tous types de prestataires internes ou externes, de clients ayant des intérêts contradictoires. Les exigences de l’entité décisionnelle diffèrent de celles d’un collaborateur. Dans ce contexte, il est crucial de s’assurer que les bons espaces, infrastructures et ressources soient délivrés dans le respect des délais et taillés sur mesure aux besoins et à la stratégie de l’entreprise. On recherche un environnement de travail productif, dans lequel les collaborateurs peuvent apporter une valeur ajoutée optimale à une entreprise axée vers ses objectifs : augmenter la flexibilité à moindre coût, partout, à tout moment, si possible au travers d’un contact de référence unique. Grâce à l’attitude proactive du RSG, une valeur ajoutée sera réellement apportée à l’organisation. 

Réponse logicielle 

Chaque organisation métier est unique, c’est-à-dire qu’une solution standard présente un certain nombre d’inconvénients. A contrario, une solution sur mesure interne peut coûter très cher et le résultat final est souvent imprévisible et rapidement obsolète.

Il existe donc une gamme très importante de logiciel sur le marché répondant  aux besoins des RSG dans tous les domaines sans risque d’usine à gaz ni de projets de développement dont l’issue est souvent incertaine  selon les avantages suivants :

– Logiciel standard associé à  une solution personnalisée ;

– Aménagement en tenant compte des souhaits du RSG et l’organisation de l’entreprise ;

– Installé et paramétré sans connaissances informatiques particulières ;

– Modules de configuration de flux de travail, d’interfaces spécifiques ainsi que paramétrage facile à définir.

Après un audit du besoin et de l’environnement informatique,il est possible, maintenant, d’installer, en ligne, un progiciel WEB ( URBA) qui permettra la gestion des services aux occupants avec –cerise sur le gâteau- une passerelle qui évite la saisie du mot de passe.

CAHIER DES CHARGES
Comment mettre en place des systèmes informatiques et des logiciels.
I. Se rapprocher des services informatiques.
Bien souvent, les projets mis en œuvre par l’informatique intéressent les services généraux, soit pour les avantages qu’ils procurent, soit pour leurs possibilités d’améliorer la communication (mise à disposition et collecte d’informations fraîches) et les tâches quotidiennes (télé relève, gestion des demandes des utilisateurs…).
Il est souhaitable de déterminer les points « partageables », afin d’intégrer des spécificités dès la constitution des groupes de travail.
Par exemple :
– Gestion des parcs copieurs : introduire les copieurs connectés au réseau de manière à bénéficier des relevés de consommations automatiques.
– Intranet : faire concevoir des formulaires spécifiques pour les services généraux ou réfléchir sur les points communs des besoins d’un nouvel arrivant par exemple, ou d’un déplacement, de manière à « déporter » sur l’utilisateur une certaine partie de la saisie.
– Analyser les sources de données partageables : annuaire Autocom, plans, équipements, photos, suivi restauration…
II. Définir les objectifs prioritaires et secondaires
Fonctionnels dans la solution logicielle

– Réponse à une fonction opérationnelle précise.
– Amélioration de la productivité.
– Services supplémentaires apportés par l’application.
Humains
– Transcription d’une expérience professionnelle.
– Acquisition de nouvelles connaissances.

– Convivialité et simplicité,
– Valorisation de la profession (intérêt au travail, responsabilisation…), effet structurant de l’informatique sur le travail de groupe.
Financiers
– Coûts directs, coûts induits (maintenance, mise à jour, formation, saisie, matériel supplémentaire, spécialités…).
– Economies réalisées (volume de papier, temps de travail, rationalisation des procédures…).
– Retour sur investissements.
Performance
– Rapport qualité/prix.
– Rapport service rendu / temps d’investissement.
– Rapport amélioration de la productivité / emplois ou débauches induites.
III. Management du projet

A faire :
– Répartition des tâches.
– Gestion des ressources.
– Fréquences des réunions.
– Documents à produire, Etapes.
IV. Procédures à mettre en place
– Méthode employée ou méthodologie
– Résultats escomptés : Système de mesure, limites.
– Descriptions fonctionnelles.
– Mode de communication.
– Circuit et méthodes de validation.
– Synthèses, Retours, Procédures de test.
V. Moyens – Mise en place d’outils de communication
– Messagerie ou modèles papier.
– Groupes de travail, profils. Actions d’information
– Etat de l’art technologie et marché.
Aspects fonctionnels :
– Analyse des fonctions.
– Ingénierie.
– Stimulation du personnel.
Management :
– Structuration de l’équipe à travers le projet.
– Reconnaissance du travail de chaque acteur, acquisition de nouvelles compétences.
Méthodologie

– Respect des délais de mise en place,

– Respect des coûts, 

– Respect de la qualité et de la conformité délivrée.

SSII
Quand il n’y a pas la possibilité de se rapprocher de services informatiques « maison », et que les ressources internes des Services généraux ne sont pas suffisantes, l’astuce est de traiter avec une SSII.

Ces sociétés peuvent assurer pour le compte du donneur d’ordre :
– Le conseil.
– Les développements.
– La maintenance des parcs informatiques.
– La gestion de transfert.
– etc.
Deux modes de facturation : La régie (les services de spécialistes sont loués pour une période) ou le forfait (le prestataire est payé pour une mission précise).

Développement durable

Des logiciels enregistrent la consommation d’énergie, par unité de travail ou par personne, et les mesures permettant de réduire les émissions de CO2.Ces logiciels, par exemple, peuvent planifier et gérer des évaluations régulières de risques et contrôles (légaux)quant à la sécurité et à la santé des employés, notamment dans le cadre de la loi sur les conditions de travail, la légionellose et la sécurité des installations électriques. Les incidents liés à la sécurité et à la santé sont enregistrés et régulièrement analysés. Le suivi des activités permet d’envoyer ou d’imprimer les prescriptions de travail et mesures nécessaires pour la réduction des risques (pour la santé).

A savoir :

La consommation moyenne annuelle d’un ordinateur portable est de 56 kWh.

La consommation moyenne annuelle d’un ordinateur fixe de bureau est de 276 kWh

En conséquence, il y a lieu de débrancher les ordinateurs, chargeurs lorqu’ils ne sont pas en service .

La RSE en trois clics

L’écriture du rapport de développement durable est loin d’être une tâche aisée. Pour faciliter cette démarche, certains éditeurs de logiciels ont lancé ces dernières années des applications simples et fonctionnelles permettant de : 

– Calculer l’empreinte carbone de l’entreprise.

– Produire des rapports (sous format PDF), réaliser des achats et investissements responsables.

(Cf. en rubrique Développement Durable les Prestataires Grenn IT.

Les labels 

« energy star »( www.energystar.gouv ) a été adopté par la commission européenne en 2003. Il garantit une moindre consommation d’énergie des équipements de bureau.Ainsi, les serveurs informatiques qui ont reçu ce label sont, en moyenne, 30 % plus éco-ernégétiques que les serveurs standard.

« éco-label européen »( www.eco-label.com ) est une certification officielle européenne portant sur 24 produits et 2 services qui garantit des impacts environnementaux réduits. Ainsi, un ordinateur portable qui a reçu ce label :

– Consomme moins d’énergie pendant l’utilisation et en mode veille

– Contient moins de substances dangereuses pour la santé et l’environnement

– Peut -être repris gratuitement par le fabricant après utilisation

– Peut -être facilement démonté et recyclé

– Utilise des batteries moins polluantes.

© Facilities – Tous droits réservés – Toute reproduction, même partielle, est interdite.

 

© Facilities
Toute reproduction, même partielle, est interdite.