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  • Agriculture Urbaine en symbiose avec le bâtiment

    Les toits sont des zones de prédilection pour développer l’agriculture urbaine, comme le montre l’appel à projet Parisculteurs de la Mairie de Paris, avec l’objectif de 100 hectares de toits…

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    Les toits sont des zones de prédilection pour développer l’agriculture urbaine, comme le montre l’appel à projet Parisculteurs de la Mairie de Paris, avec l’objectif de 100 hectares de toits et murs végétalisés supplémentaires d’ici 2020. Mais elle s’invite aussi au sein même des bâtiments, en façades, sur les balcons, dans le bâti ou encore dans les sous-sols abandonnés. Ce sont autant d’opportunités pour offrir, au cœur des centres urbains, des aires de respiration, des zones de production, plus de résilience avec le bâtiment (échanges thermiques, d’eau, de CO2), plus de durabilité (serres, zone de transformation et stockage de la production) et surtout plus de solidarités humaines…

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    (Cf. Info de Paola Mugnier - Construction 21) https://www.construction21.org

  • Et si Paris devenait une ferme ?

    D’ici à 2020, le territoire parisien disposera de 30 hectares d’espaces d’agriculture urbaine. Lancés par la Ville, les appels à projets Parisculteurs visent à accélérer la végétalisation de la…

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    D’ici à 2020, le territoire parisien disposera de 30 hectares d’espaces d’agriculture urbaine. Lancés par la Ville, les appels à projets Parisculteurs visent à accélérer la végétalisation de la capitale. En investissant toits, parcs, murs et caves, on sème aujourd’hui pour la ville de demain ! l’objectif est de sensibiliser les Parisiens à une alimentation plus saine et développer du lien social. Déjà 580 hectares de parcs et de jardins publics, 5.000 m2 de vignes et 55.000 m2 de jardins partagés. La superficie actuelle réservée au stationnement de surface à Paris représente 200 hectares ou bien 20.000arbres fruitiers.…

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    (Cf. Info Barbara Guicheteau - Paris Match Avenir) https://www.parismatch.com

  • Produits à base de métam-sodium, plus autorisés !

    Après la suspension de l’utilisation des produits phytopharmaceutiques à base de métam-sodium par le gouvernement, l’Anses annonce retirer les autorisations de

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    Après la suspension de l’utilisation des produits phytopharmaceutiques à base de métam-sodium par le gouvernement, l’Anses annonce retirer les autorisations de leur mise sur le marché. « Utilisés en maraîchage ou en horticulture, les produits phytopharmaceutiques à base de métam-sodium servent à désinfecter les sols », rappelle l’Agence. Ils sont « utilisés pour lutter contre les bioagresseurs, tels que les champignons du sol ou les nématodes », est-il précisé. Pour que ces produits soient efficaces, la dose d’emploi est comprise entre 300 et 1.200 litres par hectare, « ce qui représente 700 tonnes utilisées chaque année en France », rappelle l’Agence…

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    (Cf. Info d'E.G. d’Environnement-Magazine) http://www.environnement-magazine.fr

  • Une forêt de 1.000 arbres pour faire respirer Paris

    Paris montre l’exemple dans le cadre du projet Réinventer Paris avec le concept «Mille arbres» qui se dressera d’ici 2022 au-dessus du périphérique, au niveau de la porte Maillot. Ce sont bien 1.000…

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    Paris montre l’exemple dans le cadre du projet Réinventer Paris avec le concept «Mille arbres» qui se dressera d’ici 2022 au-dessus du périphérique, au niveau de la porte Maillot. Ce sont bien 1.000 arbres, d’essences sélectionnées pour survivre dans l’atmosphère urbaine et faire un rempart contre la pollution qui seront plantés au sein de ce nouveau complexe accueillant également logements et bureaux. Cette forêt habitée constituera une réserve naturelle évolutive au fil des saisons ainsi qu’un ilot de fraicheur l’été. Cela deviendra un refuge de biodiversité en plein cœur de ville, le poumon vert qui va faire respirer Paris.…

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    (Cf. Info Louis Delafon - Paris Match) https://www.parismatch.com

  • Espaces verts : la solution anti-canicule en ville

    Les canicules sont de plus en plus régulières. La France devrait connaître 25 jours de canicule par an entre 2050 et 2100, avec des pointes au-delà de 50 °C. En ville, le problème, ce sont les îlots…

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    Les canicules sont de plus en plus régulières. La France devrait connaître 25 jours de canicule par an entre 2050 et 2100, avec des pointes au-delà de 50 °C. En ville, le problème, ce sont les îlots de chaleur. Le béton ou le goudron emmagasinent la chaleur la journée et la rejettent la nuit, maintenant la température à un niveau élevé. Enfin, les activités humaines créent aussi de la chaleur. Au contraire, la végétation rafraîchit l’atmosphère. Les arbres font de l’ombre et rejettent de l’humidité grâce à leurs racines qui vont chercher l’eau profondément sous terre. « Un bon ombrage réduit la température ressentie de dix degrés », affirme Sophie Debergue, ingénieure à l’Ademe. De même, la verdure de façade ou de toiture, permet de conserver la fraîcheur à l’intérieur.

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    (Cf. Info Thomas Porcheron - La Croix) https://www.la-croix.com