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BNP Paribas Real Estate et Eiffage Immobilier ont acquis auprès de Sicofram, filiale de Renault, le dernier terrain de la ZAC Trapèze à Boulogne-Billancourt, entre…

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BNP Paribas Real Estate et Eiffage Immobilier ont acquis auprès de Sicofram, filiale de Renault, le dernier terrain de la ZAC Trapèze à Boulogne-Billancourt, entre la Seine et le parc de Billancourt. Dénommée D5, cette emprise accueillera un projet mixte et social composé de quatre immeubles conçus par quatre agences d’architecture : Chartier-Dalix, BIG, AAVP et ECDM, soit à terme 13.000 m² de logements et 40.000 m² de bureaux. Les premières livraisons sont attendues à partir de fin 2025. Il est à noter que l’un des immeubles tertiaires baptisé New R de 25.000 m² de bureaux (agence d’architecture Chartier-Dalix) est d’ores et déjà loué en totalité. Il accueillera le futur siège social de Renault Group en 2026…

Le chantier titanesque du village des athlètes des Jeux olympiques de Paris 2024 qui s’étend sur 52 hectares bat son plein en Seine-Saint-Denis et devrait être livré…

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Le chantier titanesque du village des athlètes des Jeux olympiques de Paris 2024 qui s’étend sur 52 hectares bat son plein en Seine-Saint-Denis et devrait être livré en mars 2024. Vitrine des ouvrages réalisés pour organiser cet événement planétaire dont le budget global s’élève à 4 milliards d’euros, le village olympique hébergera 14.250 athlètes et accompagnants qui participent à la compétition. Il accueillera ensuite, en 2025, des logements familiaux et étudiants (dont 25% de logements sociaux), des commerces, des bureaux et des services. Ce sont 6.000 habitants qui vivront sur le site, une fois les JO terminés. Si la phase de gros œuvre est déjà terminée dans la plupart des bâtiments, des milliers d’heures de travail sont encore nécessaires avant de pouvoir recevoir les meilleurs athlètes du monde…

Les chiffres sont sans appel. Au 1er trimestre 2023, l’investissement dans l’immobilier d’entreprise – bureaux, commerces, locaux d’activité et entrepôts – a chuté d…

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Les chiffres sont sans appel. Au 1er trimestre 2023, l’investissement dans l’immobilier d’entreprise – bureaux, commerces, locaux d’activité et entrepôts – a chuté de 35 % en France par rapport au 1er trimestre 2022, à 3,3 milliards d’euros, selon les données d’Immostat. Soit un niveau inférieur de 40 % par rapport à la moyenne des 5 dernières années. La baisse atteint 21 % pour l’Ile-de-France, à 2,4 milliards. Le coup de frein avait été encore plus net au 4ème trimestre 2022, avec un recul de 52 % des investissements en France et de 62 % en Ile-de-France. Les investisseurs sont à la fois plus attentistes et plus exigeants. Seuls les biens très centraux, adaptés aux nouveaux modes de travail et répondant aux dernières normes environnementales trouvent grâce à leurs yeux…

On attend avec une certaine impatience les chiffres du 1^er trimestre 2023 sur la demande placée de bureaux en Île-de-France. Le mouvement moins de burea…

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On attend avec une certaine impatience les chiffres du 1^er trimestre 2023 sur la demande placée de bureaux en Île-de-France. Le mouvement moins de bureaux, mais mieux de bureaux, accéléré par la crise sanitaire, explique en grande partie la dichotomie du marché parisien. Un quartier central des affaires plein comme un œuf, avec un taux de vacance de 2,5 %, face à une première périphérie désespérément vide. Une étude du Grecam (CoStar Group) relève un taux de vacance de 25 % sur les 4 communes de la première périphérie nord (Aubervilliers, Clichy, Saint-Ouen, Saint-Denis). La performance de l’actif s’en ressent. Son attractivité aussi. Le rendement global du bureau s’élève à seulement +0,7 % en 2022 selon MSCI, plafonnant à +2,9 % pour le QCA et tombant à -4,6 % en première couronne. Pendant ce temps, inertie oblige, la machine à construire du bureau peine à s’arrêter…

En quelques mois, le secteur est passé d’une sérénité prospère à un mur d’interrogations, affecté par le Covid, la guerre en Ukraine, les taux d’intérêt et le durcissem…

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En quelques mois, le secteur est passé d’une sérénité prospère à un mur d’interrogations, affecté par le Covid, la guerre en Ukraine, les taux d’intérêt et le durcissement de la réglementation énergétique. Le réveil a été brutal : au 4ème trimestre 2022, les investissements étaient en chute de 52% par rapport à la même époque de l’année précédente. Et même de 62% en IDF précise le groupement Immostat. L’offre doit être plus à l’écoute des utilisateurs. S’adapter. Comme les douze grands projets et réalisations sélectionnés au Mipim. Leur signe distinctif ? Leurs qualités environnementales et le soin porté à leurs utilisateurs. À Lyon, l’opération B1-C1 Nord, de Nexity illustre la montée de la mixité sociale et fonctionnelle (logements et enseignement) réclamée par la société et les élus.  Et démontre que le secteur sait quand il le faut, se remettre en cause et innover…