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Le secteur du coworking est en pleine expansion aussi bien en ville qu’en banlieue ou à la campagne, auprès des travailleurs indépendants comme des salariés. Qu’ils se…

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Le secteur du coworking est en pleine expansion aussi bien en ville qu’en banlieue ou à la campagne, auprès des travailleurs indépendants comme des salariés. Qu’ils se nomment Spaces (entité du groupe néerlandais IWG), WeWork (américain), Wellio (filiale du groupe français Covivio), Wojo (fondé par Bouygues et Accor), Morning ou Startway… ces acteurs multiplient les initiatives pour attirer les entreprises et les travailleurs indépendants, chacun avec ses ingrédients, mais tous en suivant la même recette : créer des espaces conviviaux à la décoration chaleureuse et raffinée, à mille lieues des open spaces des années 1990. Univers agile qui s’adapte  sans cesse aux besoins et aux goûts de ses usagers, ces lieux de travail partagés, propices au networking, avec les services d’une boutique hotel sont devenus un argument de poids pour attirer les futurs talents…

Le projet regroupant au total 5 bâtiments soit près de 7.4000 m2, a été imaginé et conçu par le cabinet Viguier architecture. L’opération s’inscrit dans le cadre de la…

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Le projet regroupant au total 5 bâtiments soit près de 7.4000 m2, a été imaginé et conçu par le cabinet Viguier architecture. L’opération s’inscrit dans le cadre de la construction d’un nouveau quartier au centre de Nanterre avec une architecture en rupture avec celle des tours de la défense qui se trouvent à proximité. Situé dans le prolongement des quatre premiers bâtiments, Tonga a obtenu le classement HQE Exceptionnel, la certification BREAM Excellent, les label OsmoZ et Effinergie ainsi que le label R2S, Ready 2 Services grâce à la qualité des solutions techniques utilisées. C’est une véritable vitrine du savoir-faire du groupe Vinci avec la mise en œuvre de solutions comme Green Floor, climatisation par air à l’aide de son principe de dalle active ventilée ou encore le vitrage Electrochrome (Saint-Gobain) sur la façade sud du bâtiment afin de limiter la surchauffe durant l’été…

En dépit du développement du télétravail et de l’optimisation des surfaces, plus de 2,1 millions de m² ont été commercialisés en 2022. Un chiffre en hausse d…

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En dépit du développement du télétravail et de l’optimisation des surfaces, plus de 2,1 millions de m² ont été commercialisés en 2022. Un chiffre en hausse de 10 % par rapport à 2021, mais inférieur de 5 % à la moyenne décennale. En revanche, un marché à plusieurs vitesses tend de plus en plus à se dessiner. Pour les entreprises, la localisation revêt désormais une grande importance afin de recruter plus facilement, de conserver les talents et d’offrir la meilleure accessibilité possible à l’ensemble des salariés. Paris a ainsi représenté 47 % des volumes de bureaux placés en IdF en 2022, dont 22 % pour le seul quartier central des affaires (le centre ouest de la capitale), et l’offre manque. Les bureaux haut de gamme du cœur de Paris se louent désormais 980 euros/m²/an (hors taxe et hors charges). Un niveau supérieur à l’avant-pandémie de Covid. Et la barre des 1.000 euros sera sans doute bientôt dépassée…

Nouvelle année, nouvelles résolutions et peut-être bien nouveau cycle. On pourrait le penser tant l’environnement change pour les acteurs de…

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Nouvelle année, nouvelles résolutions et peut-être bien nouveau cycle. On pourrait le penser tant l’environnement change pour les acteurs de l’industrie immobilière. Les dernières statistiques ImmoStat confirment le sentiment qui domine chez tous les professionnels. Le marché locatif des bureaux en Île-de-France résiste avec un volume de demande placée supérieur à 2 millions de m² et quelque 3.000 transactions. Bien qu’en léger retrait sur la moyenne décennale, la dynamique semble préservée des incertitudes économiques et des changements d’usage. On reste dans l’attente du taux d’absorption nette qui permettra de savoir s’il s’agit davantage d’une demande déplacée et si les utilisateurs ont préféré prendre moins de bureaux, mais « mieux » de bureaux. À l’investissement, le marché s’est arrêté. Avec une chute de plus de 50 % des volumes au dernier trimestre, les acheteurs ont clairement signifié qu’ils attendaient une baisse des valeurs…

À l’épreuve du dérèglement climatique, les nouveaux projets immobiliers tertiaires intègrent le risque météorologique, réintroduisent la biodiversité et mettent l’a…

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À l’épreuve du dérèglement climatique, les nouveaux projets immobiliers tertiaires intègrent le risque météorologique, réintroduisent la biodiversité et mettent l’accent sur le bien-être individuel et collectif des occupants. Une révolution à la fois verte, sociale et architecturale. « Les toitures végétalisées, les peintures réfléchissantes, ou encore, l’orientation des façades en fonction de l’ensoleillement sont autant de moyens d’isoler et protéger naturellement un immeuble », observe David Habrias, directeur général associé en charge de l’architecture du groupe Kardham. Néanmoins soucieux de l’acceptabilité des utilisateurs face aux situations d’inconfort thermique, ce dernier défend une utilisation judicieuse du digital afin d’intégrer harmonieusement le bâtiment dans son environnement climatique : « Il ne s’agit pas de se battre contre le climat mais d’utiliser la technologie pour calculer la meilleure combinaison des paramètres d’un immeuble et en optimiser les performances et l’usage », précise-t-il…