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En proie à de profondes difficultés sur un marché de l’immobilier de bureau déjà lui-même au ralenti, La Défense multiplie les initiatives et projets pour sortir de l’o…

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En proie à de profondes difficultés sur un marché de l’immobilier de bureau déjà lui-même au ralenti, La Défense multiplie les initiatives et projets pour sortir de l’ornière. Cette fois, l’Association des utilisateurs de La Défense, s’est engagée dans une démarche de réflexion collective, avec l’appui du cabinet Deloitte, afin d’esquisser des pistes d’avenir pour le premier quartier d’affaires européen. Selon les conclusions de l’étude, La Défense n’est plus un territoire à aménager, mais essentiellement à reconvertir. Par conséquent, aucun avenir n’est possible si la transformation des tours n’est pas encouragée et accélérée. Parallèlement, le quartier se devra aussi de bâtir un projet de territoire partagé avec un positionnement stratégique clair : le campus de l’innovation et de la connaissance …

Il aura fallu attendre 7 ans pour que la tour Wood Up sorte de terre. Situé au milieu de bâtiments neufs du XIII^e arrondissement de Paris, cet immeuble…

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Il aura fallu attendre 7 ans pour que la tour Wood Up sorte de terre. Situé au milieu de bâtiments neufs du XIII^e arrondissement de Paris, cet immeuble en bois va prochainement être livré par le maître d’ouvrage REI Habitat. La particularité de cette tour construite en bord de Seine ? « Avec ses 50 mètres de hauteur, c’est l’un des premiers exemples de bâtiment vertical en hêtre en Europe ». Au-delà du défi technique, le maître d’ouvrage a souhaité réduire au maximum l’empreinte carbone de ce projet. En utilisant évidemment le bois, capable d’absorber et de stocker le carbone, ce qui permettrait à l’usage une réduction d’émission jusqu’à 60% par rapport à un immeuble en béton mais aussi en acheminant via la Seine, du port de Rouen au port de Gennevilliers (196 km) le hêtre qui provient uniquement de Normandie…

Le monde du travail est en pleine mutation. Avec la généralisation du télétravail et du travail hybride, les bureaux traditionnels sont bousculés. De nouveaux lieux…

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Le monde du travail est en pleine mutation. Avec la généralisation du télétravail et du travail hybride, les bureaux traditionnels sont bousculés. De nouveaux lieux ont émergé pour répondre aux besoins de flexibilité et de lien social des travailleurs nomades : les espaces de coworking. Plus que de simples bureaux partagés, ces espaces se veulent de véritables lieux de vie et d’échanges. Au-delà de la location de postes de travail, ils proposent à leurs membres de s’intégrer dans une communauté soudée, de tisser des liens, de partager des valeurs et une culture commune. Cela va au-delà de la communauté de travail. Il s’agit d’une communauté « d’intérêt » au sens managérial alliant productivité et lien social…

Au premier semestre 2024, la production de bureaux neufs (74 % du total) ou restructurés a représenté 94.301 mètres carrés en Ile-de-France, à comparer à 369.105 sur la…

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Au premier semestre 2024, la production de bureaux neufs (74 % du total) ou restructurés a représenté 94.301 mètres carrés en Ile-de-France, à comparer à 369.105 sur la même période de 2023. Soit une division par quatre, selon les derniers chiffres publiés par le Capem, le Centre d’analyses et de prévisions immobilières. Les promoteurs ne sont plus prompts à lancer de nouvelles opérations. Le développement accéléré du télétravail à la suite de l’épidémie de Covid-19 et la mise en place, dans nombre d’entreprises, d’organisations en flex office (postes de travail partagés) ont bousculé le marché du bureau en région parisienne. Les besoins ont clairement baissé. Et puis, « il y a eu la hausse des taux d’intérêt d’emprunt immobilier qui a eu un effet sur le marché des bureaux mais pas seulement. Le contexte économique et politique incertain a aussi pesé…

Sur ce 1^er semestre 2024, la demande placée de bureaux en Ile-de-France s’inscrit dans la lignée de 2023 avec 853.300 m² (- 5 % sur un an et – 18 % comparé à…

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Sur ce 1^er semestre 2024, la demande placée de bureaux en Ile-de-France s’inscrit dans la lignée de 2023 avec 853.300 m² (- 5 % sur un an et – 18 % comparé à la moyenne décennale). Les volumes sont légèrement plus dégradés sur ce 2^èmetrimestre avec 408.700 m² placés (- 9 % sur un an) en raison du manque de grandes transactions > 5 000 m.  Compte tenu du contexte, les résultats sont finalement plutôt honorables avec 4,1 Mds € investis en immobilier d’entreprise. Mais il est très probable que l’inquiétude et l’incertitude générées par la situation économique et politique se traduisent notamment par un regain d’attentisme et un manque de confiance des investisseurs, devant alors naviguer à vue. Cela risque de réduire encore la liquidité de l’immobilier dans les mois qui viennent…