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Analytique pour mieux exploiter les données de l’entreprise, générative pour contrôler la fiabilité et la qualité des données, conversationnelle…Les en…

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Analytique pour mieux exploiter les données de l’entreprise, générative pour contrôler la fiabilité et la qualité des données, conversationnelle…Les entreprises utilisent toutes les formes ou niveaux de maturité d’intelligence artificielle (IA) et de Machine Learning pour améliorer et optimiser la gestion de leurs process et les aider dans la prise de décisions. Relation client, gestion de la facturation et des commandes, prévision des ventes, surveillance des machines de production, planification des capacités des ressources humaines… L’IA tend désormais à être omniprésente dans tous les process opérationnels, financiers, commerciaux ou RH des entreprises. Sa double vocation : améliorer la gestion d’entreprise et aider les dirigeants à prendre les bonnes décisions…

À l’échelle mondiale, le succès ne se dément pas. OpenAI, la start-up lancée en 2015, a annoncé que son robot conversationnel ChatGPT avait franchi la barre des 2…

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À l’échelle mondiale, le succès ne se dément pas. OpenAI, la start-up lancée en 2015, a annoncé que son robot conversationnel ChatGPT avait franchi la barre des 200 millions d’utilisateurs hebdomadaires, deux fois plus qu’en novembre dernier. La version payante de ChatGPT, quant à elle, a atteint 1 million d’abonnés, contre 600.000 en avril dernier. Les choses s’accélèrent aussi du côté de Meta, le géant des réseaux sociaux qui tente de rattraper petit à petit son rival. Le groupe a lancé l’année dernière Meta AI, un assistant conversationnel qui répond aux internautes en temps réel. Cependant, si les entreprises ont multiplié les expérimentations et les mises en production de projets liés à l’IA en interne, il existe un réel « décalage entre les investissements des entreprises dans l’IA générative et leur capacité à les mettre en oeuvre et à les faire évoluer à grande échelle »…

La plateforme américaine va devoir payer une amende de 290 millions d’euros pour avoir transféré des données personnelles de chauffeurs VTC européens vers les Ét…

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La plateforme américaine va devoir payer une amende de 290 millions d’euros pour avoir transféré des données personnelles de chauffeurs VTC européens vers les États-Unis en « violation grave » du règlement général sur la protection des données (RGPD) européen. Concrètement, il s’agissait de « données liées au compte et à la licence des chauffeurs », mais aussi « leurs données de localisation, des photos, des détails de paiement, des documents d’identité et, dans certains cas, même les données liées à des informations médicales (…) des chauffeurs ». Ces data ont été transférées de l’Europe vers les États-Unis pendant deux ans, sans que « la protection des données personnelles ne soit suffisante », estime la CNIL néerlandaise. Une amende totalement injustifiée, selon Uber qui fait appel…

 

Dans le cadre du programme d’experts support (SPE), le Comité européen de la protection des données vient d’actualiser ses outils pour auditer les systèmes d’IA Les exp…

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Dans le cadre du programme d’experts support (SPE), le Comité européen de la protection des données vient d’actualiser ses outils pour auditer les systèmes d’IA Les experts proposent trois supports principaux pour les structures développant des IA : une liste de contrôle pour l’audit de l’IA, un dépliant explicatif sur l’IA, et un outil innovant d’évaluation fonctionnant comme le Nutri-score, l’Algo-score. Ces outils d’audit représentent une opportunité majeure pour les entreprises. En affichant les résultats des audits, les entreprises peuvent démontrer leur transparence et leur responsabilité, ce qui est bénéfique non seulement pour les régulateurs mais également pour l’ensemble des acteurs …

 

L’essor de l’IA soulève des inquiétudes pour l’emploi. Mais le véritable risque pour les organisations ne serait-il pas sa perfection croissante, qui pourrait rend…

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L’essor de l’IA soulève des inquiétudes pour l’emploi. Mais le véritable risque pour les organisations ne serait-il pas sa perfection croissante, qui pourrait rendre obsolète l’intervention humaine ? Sa perfection croissante risque en revanche de l’empêcher de profiter du hasard, source de ruptures scientifiques et technologiques. En effet, sans « erreur », il n’y aurait pas eu de découverte des rayons X, du téflon, de l’aspartame, de la pénicilline, etc. Car l’IA, pour fonctionner, s’appuie sur des données existantes, alors que l’être humain dispose d’une capacité d’imagination et de création qui favorise la sérendipité. Toute la complexité revient alors à faire la différence entre les activités qui requièrent de la « perfection », de l’amélioration linéaire et celles qui demandent de « l’erreur » pour favoriser l’apparition de ruptures…