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Télétravail et travail hybride sont devenus des enjeux cruciaux dans la gestion de la qualité en entreprise. Pour formaliser les bonnes pratiques et assurer un…

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Télétravail et travail hybride sont devenus des enjeux cruciaux dans la gestion de la qualité en entreprise. Pour formaliser les bonnes pratiques et assurer une amélioration continue de l’organisation du travail, de nombreuses entreprises optent pour une démarche de certification ou de labellisation. Cette démarche s’appuie sur un référentiel et un dialogue social renforcé. De nombreuses entreprises ont choisi de le formaliser dans un cadre collectif négocié, notamment par la signature d’accords d’entreprise. Les accords s’attachent à préciser plusieurs points clés, conformément à l’article L1222-9 du Code du travail. Ils définissent les conditions de passage en télétravail et détaillent les modalités et les conditions de mise en œuvre…

 

 

Le travail hybride fait émerger de nouvelles formes de travail invisible, non rémunérées et effectuées hors de tout lien contractuel. Au-delà des risques légaux, cette…

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Le travail hybride fait émerger de nouvelles formes de travail invisible, non rémunérées et effectuées hors de tout lien contractuel. Au-delà des risques légaux, cette situation interroge sur la reconnaissance et l’encadrement de ces tâches « invisibles », mais pourtant productives.Il est désormais primordial de prendre en compte les tâches qui ne sont pas visibles parce qu’elles sont effectuées en dehors du cadre spatial de l’entreprise. Pour cela, il est impératif de faire respecter le droit à la déconnexion, d’effectuer un suivi particulier pour les télétravailleurs à domicile avec une périodicité renforcée des entretiens de suivi, une analyse rigoureuse des missions confiées, et de mettre en place des systèmes d’alerte (process, interlocuteurs dédiés, médecine du travail, comité de suivi)…

À partir de ce jour, « les femmes devraient théoriquement s’arrêter de travailler du fait des inégalités salariales », estime le collectif féministe Les Glorieuses. Pou…

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À partir de ce jour, « les femmes devraient théoriquement s’arrêter de travailler du fait des inégalités salariales », estime le collectif féministe Les Glorieuses. Pour déterminer cette date, il s’est basé sur un chiffre publié par Eurostat et datant de 2022. Celui-ci indique que les femmes empochent en moyenne 13,9 % de moins que leurs homologues masculins par heure travaillée en France. Un chiffre qui concerne les entreprises d’au moins dix salariés dans les secteurs de l’industrie, de la construction et des services. Le collectif soustrait ensuite cette proportion au nombre de jours ouvrés dans l’année, pour arriver au 8 novembre. Pour endiguer les écarts salariaux, Les Glorieuses préconisent la mise en place de plusieurs mesures, parmi lesquelles la transparence salariale…

La facture pèse lourd, chaque année, dans les dépenses publiques. Pour ses achats, qui comprennent notamment l’énergie, les fournitures des enseignants, les bureaux…

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La facture pèse lourd, chaque année, dans les dépenses publiques. Pour ses achats, qui comprennent notamment l’énergie, les fournitures des enseignants, les bureaux des fonctionnaires des ministères, les draps des Ehpad publics ou encore les chaises des salles d’attente des hôpitaux, l’État a déboursé 155 milliards d’euros en 2023. Une somme colossale, équivalente à la moitié de la rémunération annuelle des agents de la fonction publique ! Or les prix affichés dans les catalogues où se fournissent les agents sont parfois beaucoup plus élevés que ceux des magasins traditionnels. Mis en place pour enrayer la corruption, le code des marchés publics impose des procédures très lourdes que les centrales d’achat permettent d’alléger, mais au prix de marges colossales…

À l’heure de l’IA, la semaine de 4 jours permettrait de répondre aux défis majeurs de l’égalité homme-femme au travail et de l’urgence écologique. En effet, les femmes…

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À l’heure de l’IA, la semaine de 4 jours permettrait de répondre aux défis majeurs de l’égalité homme-femme au travail et de l’urgence écologique. En effet, les femmes ont massivement intégré le monde du travail sans que les hommes aient investi de manière équivalente le domaine domestique. En moyenne, les femmes réalisent encore 2,5 fois plus de tâches ménagères et 80 % des familles monoparentales sont portées par des femmes. Résultat : 42 % d’écart de revenus au sein des couples et une précarité accrue pour les mères isolées. La semaine de 4 jours pourrait aussi diminuer les émissions de gaz à effet de serre de 20 %. C’est gigantesque. En réalité, une réduction du temps de travail bénéficierait à la fois à la mixité et à la transition écologique. Elle serait même cruciale à un moment où la présence des femmes aux postes de décision est essentielle…