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C’est le hashtag qui monte : #QVCT. La qualité de vie et des conditions de travail n’est plus l’apanage des entreprises libérées mais « une nécessité stratégique », sel…

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C’est le hashtag qui monte : #QVCT. La qualité de vie et des conditions de travail n’est plus l’apanage des entreprises libérées mais « une nécessité stratégique », selon le courtier en assurance WTW. Dans son baromètre 2024 du bien-être des collaborateurs, quatre employeurs sur cinq disent « miser sur le bien-être des salariés ». Confirmant que « le sujet est à l’agenda de tous les DRH », David Mahé, président-fondateur du cabinet Human & Work, souligne que « la santé physique et mentale occupe une place clé dans les politiques de QVT ». Les organisations sont donc enjointes à plancher sur des politiques globales, « sans nier le caractère individuel de chaque difficulté » et sont mises en garde contre « les modes managériales et le prêt-à-penser ». Et c’est à grand renfort de remontées du terrain que se construit la prévention…

Les entreprises s’efforcent de plus en plus de contribuer au bien-être de leurs employés. Un sujet épineux à fort enjeu économique que la Journée mondiale de la santé m…

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Les entreprises s’efforcent de plus en plus de contribuer au bien-être de leurs employés. Un sujet épineux à fort enjeu économique que la Journée mondiale de la santé mentale qui se tient ce jour met en lumière. Charge de travail excessive, manque de perspectives de carrière, harcèlement, discrimination sont quelques-uns des risques qui peuvent affecter la santé mentale au travail, selon l’OMS. Mais les conditions de travail ne sont qu’une composante de la santé mentale. Les problématiques du quotidien s’ajoutent à cela : divorce, deuil, difficultés financières… Les entreprises tentent d’y répondre par plusieurs moyens : formations, ateliers, ligne d’écoute téléphonique mais est-ce assez ? Il ne faut pas se limiter à ça. Il faut aussi s’interroger sur les pratiques en interne. Si l’organisation ne permet pas d’avoir des conditions de travail saines, toutes ces actions risquent d’avoir peu d’effets…

La philosophe publie un nouvel essai, La Vertu dangereuse, où elle dénonce les dérives moralisatrices, démagogiques et procédurières dans le monde…

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La philosophe publie un nouvel essai, La Vertu dangereuse, où elle dénonce les dérives moralisatrices, démagogiques et procédurières dans le monde professionnel. Sous couvert de promotion des soft skills, de l’intelligence collective » et des « talents », les dirigeants et les responsables des ressources humaines font souvent plus de mal que de bien. Julia de Funès défend une vision vraiment libérale et adulte du management, et explique pourquoi l’enfer professionnel est pavé de « bienveillantes » intentions. Ainsi dans le mal-être et la perte de sens, on retrouve cette question de la bien-pensance. Ce sentiment qu’on ne peut plus rien dire. Nous sommes prisonniers des dogmes de la pensée positive. Cette bien-pensance est une chape de plomb qui étouffe les opinions. Les gens n’osent plus émettre de jugement. Ils finissent tous par utiliser les mêmes mots, les mêmes formulations. Il y a des attitudes convenues, des raisonnements préfabriqués…

Une étude de l’association Elles bougent, publiée lundi 23 septembre, rappelle à quel point les stéréotypes de genre entravent l’accès des femmes aux métiers scient…

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Une étude de l’association Elles bougent, publiée lundi 23 septembre, rappelle à quel point les stéréotypes de genre entravent l’accès des femmes aux métiers scientifiques et techniques. Pour celles qui ont choisi malgré tout de poursuivre leurs études dans ces secteurs, les difficultés, liées à la persistance d’un univers très masculin, n’ont pas disparu : 48 % estiment avoir manqué de soutien, d’accompagnement, de rôles modèles pendant leurs études ; 42 % ont ou ont eu le sentiment de ne pas être à leur place. À l’arrivée dans le monde professionnel, les inégalités s’accroissent : 81 % des femmes estiment que les hommes accèdent plus facilement aux postes à responsabilité et 75 % jugent que les hommes bénéficient de meilleurs salaires à poste égal…

 

 

A l’issue des différents confinements liés au Covid, la plupart des grandes compagnies ont adopté le télétravail dans l’enthousiasme. Cela correspondait à une as…

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A l’issue des différents confinements liés au Covid, la plupart des grandes compagnies ont adopté le télétravail dans l’enthousiasme. Cela correspondait à une aspiration des collaborateurs mais permettait aussi de faire des économies de locaux et de faire travailler ensemble des équipes, quelle que soit leur situation géographique. Trois ans plus tard, le rétropédalage est général. Ce revirement, s’il est excessif, n’est pas surprenant. L’illusion du tout distanciel était basée sur l’hypothèse que seule la puissance de production d’un collaborateur importait. Or, on attend davantage d’un collaborateur (créativité, un sentiment d’appartenance, une capacité à aider ses collègues, une implication à faire réussir l’entreprise). Mais favoriser les émotions positives des équipes nécessite de s’y consacrer. Il ne s’agit pas de revenir aux éphémères «chiefs happiness officers »…