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Les imprimeries, comme de nombreuses entreprises, ont adapté leur façon de travailler pour réduire leur impact environnemental. Si le mouvement est général ces…

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Les imprimeries, comme de nombreuses entreprises, ont adapté leur façon de travailler pour réduire leur impact environnemental. Si le mouvement est général ces dernières années, il est loin d’être nouveau pour ce secteur. Les imprimeurs ont en effet commencé à changer leurs habitudes il y a plus de 20 ans. Papiers issus de forêts gérées durablement, substituts aux plastiques, encres végétales ou à base d’eau sont courants aujourd’hui, et ont pu être mis en place sans changer les machines. Et c’est le point sur lequel l’industrie graphique achoppe, car le parc ancien est énergivore. Faut-il le renouveler pour des équipements plus modernes, rapides et économes ? ou le conserver, pour éviter de produire des déchets ? C’est toute la difficulté des industries qui doivent continuer à produire, tout en protégeant au maximum la ressource…

Pour remédier aux manques avant l’arrivée de la production de masse, les imprimantes 3D ont été appelées à la rescousse. En France et à l’étranger, les…

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Pour remédier aux manques avant l’arrivée de la production de masse, les imprimantes 3D ont été appelées à la rescousse. En France et à l’étranger, les initiatives se multiplient pour fabriquer des masques ou des respirateurs. L’impression 3D consiste à appliquer des couches successives de plastique suivant un modèle 3D. Ce système permet de créer des pièces précises personnalisées, rapidement et à moindre coût. Ainsi, un parc de 60 imprimantes 3D installées à l’hôpital Cochin permettent de fabriquer des visières de protection pour le visage, des valves pour respirateur artificiel d’urgence, du matériel d’intubation, des masques, des poignées… À Nantes, le collectif Makers for Life développe en open source des respirateurs artificiels…

La Guardia Svizzera Pontificia est la plus vieille force militaire du monde et la plus petite avec 110 actifs. Ces soldats sont connus pour leur uniforme rouge, jaune et …

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La Guardia Svizzera Pontificia est la plus vieille force militaire du monde et la plus petite avec 110 actifs. Ces soldats sont connus pour leur uniforme rouge, jaune et bleu.  Leur casque d’apparat est en acier forgé mais malgré le goût des traditions, ils sont abandonnés, car lourds, coûteux et longs à fabriquer. De plus ce morion au soleil, chauffe la tête des gardes. Aujourd’hui il est fabriqué en PVC par une imprimante 3D HP et toujours frappé des armes de Jules II. Le nouveau casque pèse 570 grammes contre 2 kilos, l’ancien. Son impression prend 14 heures, contre 130 heures de fabrication pour celui en métal. Enfin ils résistent aux rayons UV et comportent des fentes ventilant la tête des soldats. Chaque casque coûte environ 880 €, soit moitié moins que les précédents…

Après la mise en redressement judiciaire de certaines filiales françaises (950 salariés) du producteur de papier, les conseils d’administration de plusieurs sociétés d’Arjowiggins en UK déci…

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Après la mise en redressement judiciaire de certaines filiales françaises (950 salariés) du producteur de papier, les conseils d’administration de plusieurs sociétés d’Arjowiggins en UK décide de demander la désignation d’un administrateur. Sont concernées AW UK Holdings, Arjo Wiggins Fine Papers, ArjoWiggins Chartham, Arjowiggins Sourcing, Arjobex et Performance Papers. Ces sociétés exploitent notamment trois usines anglaises : celle de Stoneywood fabriquant des papiers de création (509 salariés), la papeterie de Chartham qui produit du papier calque (90 salariés) et l’usine Arjobex de Clacton dédié aux papiers synthétiques (50 salariés)…

Le livre a encore de beaux jours devant lui. Le succès du dernier roman de Michel Houellebecq « Sérotonine » le démontre. Alors que le premier tirage du livre de Michel Houellebecq était de 320.000…

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Le livre a encore de beaux jours devant lui. Le succès du dernier roman de Michel Houellebecq « Sérotonine » le démontre. Alors que le premier tirage du livre de Michel Houellebecq était de 320.000 exemplaires, l’éditeur Flammarion a décidé de réimprimer 50.000 ex. seulement six jours après sa sortie. Le romancier n’avait rien publié depuis la polémique « Soumission », paru il y a quatre ans, le jour même de l’attaque contre « Charlie Hebdo ». Toutes éditions confondues, cet ouvrage s’est écoulé à près de 800.000 exemplaires dans le monde francophone. On rappellera que le tirage moyen d’un roman en France avoisine seulement les 5.000 exemplaires…