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L’idée est venue en 2016 à Alain Buonomo, ingénieur en restauration hospitalière, “un des plus gros gisements de gaspillage alimentaire”, de créer une méthode…

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L’idée est venue en 2016 à Alain Buonomo, ingénieur en restauration hospitalière, “un des plus gros gisements de gaspillage alimentaire”, de créer une méthode de lutte adaptée.

Il démarre de façon artisanale, avec des tableaux Excel, avant de s’associer à un développeur en 2019 pour “créer OptiGaspiun outil duplicable à tous les établissements du secteur de la santé”, avec une pesée digitale. L’analyse des données permet d’établir un arbre des causes, et prendre en conséquence des décisions qui permettent de réduire le gaspillage et réaliser des économies qui permettent d’intégrer plus de qualité à l’hôpital, avec les coûts que l’on connaît. Mais aussi améliorer la satisfaction des patients. C’est aussi l’occasion, « grâce à l’intelligence collective, de redonner du sens à la restauration dans les établissements de santé ». Et au-delà…

À moins de 100 jours du coup d’envoi des JO, Sodexo Live, le partenaire de Paris 2024 a dévoilé l’offre de restauration100% végétarienne qui sera proposée aux athlètes…

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À moins de 100 jours du coup d’envoi des JO, Sodexo Live, le partenaire de Paris 2024 a dévoilé l’offre de restauration100% végétarienne qui sera proposée aux athlètes et aux visiteurs sur le site de la Concorde. C’est une première ! Le hot dog, best-seller des événements sportifs, sera ainsi revisité en version veggie, composé d’une sau­cisse à base de pomme de terre et de pois dans un pain brioché, accompagné d’oignons crispy, de pickles de chou rouge, et de moutarde au miel. 13 millions de repas seront servis durant les Jeux Olympiques et Paralympiques. Outre les recettes végétariennes, d’importants efforts ont aussi été accomplis en matière d’emballages, de récupération et de redistribution des invendus. Sans oublier le tri des déchets…

C’est la question sur laquelle s’est penchée l’Essec dans une étude menée auprès de 376 personnes, (équipiers, familles, encadrants des cafés-restaurants et convives…

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C’est la question sur laquelle s’est penchée l’Essec dans une étude menée auprès de 376 personnes, (équipiers, familles, encadrants des cafés-restaurants et convives de Café Joyeux en région parisienne, Bordeaux, Lyon, Rennes, Tours, Montpellier et Nantes) entre août et décembre 2023. Il en ressort que près de 91% des équipiers ont développé des compétences professionnelles qui les rassurent pour leur insertion et leur avenir. Café Joyeux a également un impact sur leur quotidien à travers l’augmentation de leurs interactions sociales (99%), de leur autonomie (93%) et de leur confiance en eux (90%). Un impact positif aussi pour leurs familles : elles sont plus fières de leurs proches (92%) et moins inquiètes (94%). Tandis que les clients changent de regard, 92% ont pris conscience des capacités des personnes en situation de handicap et près de 81% expriment avoir changé de regard sur le handicap…

 

En toute logique, l’inflation est durement ressentie par les salariés. D’après le baromètre Food d’Edenred, en Europe, la part du budget qu’ils consacrent à l’alimen…

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En toute logique, l’inflation est durement ressentie par les salariés. D’après le baromètre Food d’Edenred, en Europe, la part du budget qu’ils consacrent à l’alimentation est passée de 13% par foyer en 2019 à plus de 20% en 2023 pour 73 % des répondants. Et comme 87 % estiment que les prix alimentaires vont continuer de grimper, ils envisagent en parallèle quelques arbitrages. Un Européen sur deux imagine réduire ses dépenses alimentaires et plus de 9 Français sur 10 pensent baisser leurs dépenses en restauration. Dans ce contexte, le prix prend toute son importance ; il devient le premier critère de choix pour 88 % des salariés français. Et le ticket-restaurant se pose en levier de croissance puisque 70 % des salariés français iraient moins au restaurant s’ils n’en avaient pas…

10 millions de tonnes de produits jetés par an, soit environ 16 milliards d’euros et 3 % des émissions de gaz à effet de serre… Le gaspillage alimentaire repr…

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10 millions de tonnes de produits jetés par an, soit environ 16 milliards d’euros et 3 % des émissions de gaz à effet de serre… Le gaspillage alimentaire représenterait ainsi un coût supérieur à 100 euros par an et par personne.Cela reste non négligeable alors que 87 %, selon un sondage d’Harris Interactive pour Cetelem, indiquent avoir réduit leur gaspillage alimentaire. Plusieurs applications mobiles qui luttent contre ce fléau sont apparues il y a moins de dix ans et sont en plein boom. Elles se nomment Optimiam, Phenix ou encore Too Good to Go. Si les initiatives de lutte contre le gaspillage alimentaire sont à saluer et à encourager, l’efficacité de la réduction du prix de manière directe ou indirecte pose la question d’un changement effectif des consommateurs sur le long terme…