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Près d’un salarié français sur deux (47,7 %) déclare avoir déjà subi une attaque malveillante. Ce taux place la France parmi les pays les plus exposés au phishing, sel…

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Près d’un salarié français sur deux (47,7 %) déclare avoir déjà subi une attaque malveillante. Ce taux place la France parmi les pays les plus exposés au phishing, selon le dernier rapport 2025 de KnowBe4 sur la résilience des employés face aux cybermenaces. L’étude, basée sur des simulations d’hameçonnage et la perception des risques, dresse un état des lieux inquiétant. La société américaine KnowBe4, spécialisée dans la formation à la cybersécurité, met en lumière une faible confiance des Français dans leur capacité à détecter les menaces : seulement 67,7 % des salariés se disent capables de repérer un e-mail frauduleux, contre 86 % en moyenne mondiale. La France se place ainsi dernière du classement, loin derrière le Royaume-Uni ou l’Afrique du Sud (91,4 %)…

 

Le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau, le ministre de l’Économie des Finances Éric Lombard et le ministre auprès du ministre de l’Intérieur François-Noël B…

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Le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau, le ministre de l’Économie des Finances Éric Lombard et le ministre auprès du ministre de l’Intérieur François-Noël Buffet ont confié à l’IGA et à l’IGF une mission sur la sécurité privée, mercredi 25 juin 2025. Les inspections doivent se pencher sur les causes et les conséquences « de la fragilité économique du secteur » et sur l’opportunité « d’une intervention publique renforcée », selon la lettre de mission. Elles travailleront en particulier sur la garantie financière et sur le principe d’exclusivité. Même si la filière de la sécurité privée a démontré lors des JOP de 2024 « qu’elle s’était au cours des dernières années nettement professionnalisée », « elle conserve néanmoins des fragilités économiques importantes…

Absent depuis plusieurs années des instances représentatives du secteur, Fiducial, le numéro 2 français de la sécurité choisit de rejoindre le Groupement des…

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Absent depuis plusieurs années des instances représentatives du secteur, Fiducial, le numéro 2 français de la sécurité choisit de rejoindre le Groupement des Entreprises de Sécurité (GES).  Il renoue ainsi avec un écosystème essentiel à l’avenir du métier et entend désormais jouer pleinement son rôle dans les débats et décisions qui dessineront l’avenir de la profession. Et veut participer aux grands chantiers qui s’annoncent dans ce secteur de plus de 200.000 salariés : attractivité des métiers, valorisation des compétences, intégration des nouveaux outils, et reconnaissance du rôle stratégique de la sécurité dans la société. C’est Laurent Pichon nommé en janvier dernier directeur général de l’activité sécurité humaine (Fiducial Sécurité Humaine, Fiducial Sécurité Prévention et Fiducial Events Security) qui représentera Fiducial au sein du GES…

Le conseil municipal de Nice a validé une convention permettant à la police municipale de visionner en temps réel les images des caméras situées dans les parties…

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Le conseil municipal de Nice a validé une convention permettant à la police municipale de visionner en temps réel les images des caméras situées dans les parties communes de certains immeubles gérés par le bailleur social Côte d’Azur Habitat. Nice, la ville la plus surveillée de France avec près de 5 .000 caméras, entend aller plus loin en intégrant des technologies d’IA capables de détecter automatiquement des comportements suspects. En novembre 2023, la justice avait validé ces expérimentations, écartant les accusations d’atteinte à la vie privée. Le nouveau dispositif reste néanmoins encadré : les images restent la propriété du bailleur, ne sont enregistrées que par ce dernier pour 30 jours maximum (sauf réquisition), et ne peuvent être transmises au CSU qu’en cas d’événement grave…

Le Cnaps a connu en 2024, année des JOP, « une activité disciplinaire particulièrement soutenue » marquant un tournant pour la régulation du secteur de la sécurité p…

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Le Cnaps a connu en 2024, année des JOP, « une activité disciplinaire particulièrement soutenue » marquant un tournant pour la régulation du secteur de la sécurité privée. C’est ce qu’il ressort de son rapport annuel présenté mercredi 4 juin 2025. L’établissement s’est attaché à constater les manquements « les plus graves », « en particulier dans le domaine de la sécurité évènementielle, révèlant le maintien de pratiques de sous-traitance en cascade, des tarifs anormalement bas et du travail dissimulé. Le CNAPS poursuit son évolution en 2025 avec plusieurs chantiers majeurs : réforme des formations (cartes formateurs, agréments), poursuite de l’expérimentation avec le service national des enquêtes administratives de sécurité (SNEAS), poursuite de la modernisation du système d’information (DRACAR), et réflexion sur une carte professionnelle sécurisée pour lutter contre l’usurpation d’identité…