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Claude Tarlet, président de la FFSP (Fédération française de la sécurité privée), est nommé président exécutif de Luxant Group, à compter du 1er mars 2022. Il sera char…

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Claude Tarlet, président de la FFSP (Fédération française de la sécurité privée), est nommé président exécutif de Luxant Group, à compter du 1er mars 2022. Il sera chargé d' »assister » le président-fondateur, Benamar Bahlil, pour « faire transpirer » la stratégie du groupe de sécurité privée « sur le terrain ». Claude Tarlet devra apporter de la « cohérence » entre les différentes activités du groupe. Fondé en 2001 par Benamar Bahlil, Luxant Group est présent dans la surveillance humaine, la sécurité électronique, la formation, l’hôtessariat, mais également la cybersécurité et les nouvelles technologies. À l’automne 2020, la structure, qui comptait 1.900 salariés pour un CA annuel de 60 millions d’euros, a pris le contrôle du groupe Octopus, représentant alors 2.600 salariés pour un CA de 80 millions d’euros…

L’invasion de l’Ukraine par la Russie met au premier plan les menaces de cyberattaques, l’autre « champ de bataille ». Dans son message au Parlement vendredi 25 février 2…

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L’invasion de l’Ukraine par la Russie met au premier plan les menaces de cyberattaques, l’autre « champ de bataille ». Dans son message au Parlement vendredi 25 février 2022, le président de la République Emmanuel Macron annonce le renforcement de la lutte contre les manipulations de l’information et les attaques cyber, pour nous protéger contre les ingérences étrangères. Depuis 48 heures, la vigilance est accrue dans tout le pays. L’Anssi a, dès ce mercredi, appelé à la cyber vigilance. Le message a été renouvelé jeudi et vendredi auprès des ministères, des administrations et des OIV appelés à lister les priorités à faire redémarrer, en cas de cyberattaques. Les institutions dédiées à la protection des réseaux mettent tout en œuvre « pour que le système ne tombe pas »…

Il appartient aux employeurs de souscrire à une assurance professionnelle pour couvrir tous les risques liés au télétravail de leurs employés, car la réglementation p…

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Il appartient aux employeurs de souscrire à une assurance professionnelle pour couvrir tous les risques liés au télétravail de leurs employés, car la réglementation prévoit que les salariés en distanciel doivent bénéficier des mêmes avantages que ceux en présentiel dans les locaux de la société, y compris la protection assurantielle. Le contrat choisi par l’entreprise doit couvrir les biens professionnels contre les dommages habituels (incendie, tempête, ou dégât des eaux) et contre les vols, protéger les données sensibles stockées sur les matériels informatiques de l’entreprise amenés à la maison, et inclure une garantie de responsabilité civile professionnelle. Si vous vous blessez à votre domicile dans le cadre du télétravail, l’assurance de l’entreprise le prend en charge. Mais si vous utilisez un ordinateur personnel dans le cadre de votre travail à domicile, l’assurance de votre employeur ne s’appliquera pas…

Depuis le début de la crise sanitaire, la menace cyber a fortement augmenté. Les hackers intensifient les attaques contre des organisations fragilisées avec la…

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Depuis le début de la crise sanitaire, la menace cyber a fortement augmenté. Les hackers intensifient les attaques contre des organisations fragilisées avec la généralisation du télétravail. Selon l’ANSSI, le nombre de victimes a été multiplié par quatre en 2020. Dans ce contexte, les assureurs augmentent leurs primes et élèvent le niveau d’exigence. En donnant des gages de bonne gouvernance IT, la DSI permet à l’entreprise de souscrire le meilleur contrat de cyber assurance possible qui couvre les pertes d’exploitation, les frais liés à la restauration du système d’information, mais aussi les dommages subis à un tiers si la responsabilité civile de l’assuré est engagée. Au-delà de ce volet indemnisation, l’assureur envoie des experts qui vont identifier la menace, évaluer l’ampleur de l’attaque et le volume de données exfiltrées…

C’est assez rare dans le monde de la sécurité privée pour être souligné. Le projet d’ordonnance relative au Cnaps, prévue par la loi « Sécurité globale », les projets d…

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C’est assez rare dans le monde de la sécurité privée pour être souligné. Le projet d’ordonnance relative au Cnaps, prévue par la loi « Sécurité globale », les projets de décrets y afférant, ainsi que le projet d’arrêté relatif à la création d’un Conseil d’orientation stratégique, constitueraient, selon les 5 organisations, une remise en cause complète du rôle joué par les professionnels dans le bon fonctionnement du Cnaps depuis sa création. Les textes, prévoiraient le départ des professionnels de la filière de toutes les instances du Cnaps. Qu’il s’agisse du Collège, de la Commission nationale d’agrément et de contrôle (Cnac) ou de la Commission locale d’agrément et de contrôle (Clac). Cette réforme reviendrait à concentrer tous les pouvoirs du Cnaps, qu’il s’agisse de ces pouvoirs en matière de police disciplinaire et administrative, entre les mains de son directeur. Le GES, le GPMSE, le Snarp, la Fedesfi et le Sesa demandent donc «le retour à une véritable concertation et au respect de la lettre et de l’esprit de l’habilitation donnée par le Parlement au Gouvernement pour prendre cette ordonnance.»…