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Selon l’avis d’attribution, Paris 2024 a affecté plus d’une centaine de lots à une petite trentaine d’entreprises, pour la plupart des PME basées en IDF. Plus grosse en…

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Selon l’avis d’attribution, Paris 2024 a affecté plus d’une centaine de lots à une petite trentaine d’entreprises, pour la plupart des PME basées en IDF. Plus grosse entité retenue, le groupe Seris obtient une dizaine de lots sur plusieurs lieux, dont le site d’escalade du Bourget et le centre aquatique à Saint-Denis. La société CESG va quant à elle participer à la sécurisation de plusieurs sites parisiens comme le pont d’Iéna-Trocadéro et la Concorde, tout comme le groupe BSL sécurité, qui sera chargé de missions de sécurité incendie et d’assistance sur six sites. La société toulousaine RPS remporte des lots de gardiennage sur des sites parisiens ainsi que les deux lots multi-attributaires, tandis que Bac Up, se voit attribuer trois lots sur des zones couvrant terrain de jeu, vestiaire et zones d’échauffement. Dom sécurité, aussi présente en outre-mer, obtient un lot à Saint-Étienne…

La vidéoprotection est en pleine évolution pour des raisons techniques (avec l’utilisation d’intelligence artificielle), sociologiques et juridiques. En 2022, une r…

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La vidéoprotection est en pleine évolution pour des raisons techniques (avec l’utilisation d’intelligence artificielle), sociologiques et juridiques. En 2022, une réglementation a permis l’usage des drones sur la voie publique. En 2023, la loi JO publiée au Journal officiel, le 20 mai dernier, comprend des dispositions sur les caméras augmentées, en autorisant notamment l’expérimentation de traitements algorithmiques des images de vidéosurveillance et met fin aux divergences pouvant exister entre le RGPD et le Code de la sécurité intérieure. La loi permet en outre l’utilisation de scanners corporels, étend le « criblage », et crée un nouveau délit de maintien sans motif légitime sur l’aire de compétition d’une enceinte sportive. Sans compter, le récent rapport parlementaire de M. Gosselin et Latombe qui évoque encore de nouvelles opportunités…

Plus de 8 violations de données sur 10 dans le monde relèvent d’une erreur humaine. L’utilisateur est le maillon faible de la cybersécurité, et cette vulnérabilité tire…

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Plus de 8 violations de données sur 10 dans le monde relèvent d’une erreur humaine. L’utilisateur est le maillon faible de la cybersécurité, et cette vulnérabilité tire son origine d’un manque de connaissances des risques cyber et des comportements associés. Pour beaucoup, la cybersécurité est un problème relevant exclusivement du service informatique. Or la cybersécurité est l’affaire de tou.te.s. Lorsque les hôpitaux sont victimes d’un ransomware, les soins sont difficilement voire plus assurés du tout. Quand les entreprises sont touchées par une cyberattaque, nous perdons nos emplois. Nous sous-estimons encore l’importance de la cybersécurité sur notre société et notre économie…

Abdelhamid Faddeoui, président d’Aetos sécurité privée, a été élu président du GES par le conseil d’administration de l’organisation patronale de surveillance humaine,…

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Abdelhamid Faddeoui, président d’Aetos sécurité privée, a été élu président du GES par le conseil d’administration de l’organisation patronale de surveillance humaine, mardi 16 mai 2023 à Paris. Il succédera à Luc Guilmin à la fin du mois de juin, lorsque celui-ci quittera Securitas France. « Je continuerai à œuvrer pour que la profession parle d’une seule voix, celle-là même qui servira l’intérêt des entreprises de sécurité privée et l’intérêt général », déclare Abdelhamid Faddeoui. Agé de 47 ans, ce dernier a fondé la société Aetos sécurité privée en 2009, puis le groupe Aetos en 2013 et la société Aetos Protection en 2014. Il est auditeur de la 30ème session nationale « sécurité et justice » de l’Institut national des hautes études de la sécurité et de la justice de 2018 à 2019. Il devient vice-président, président du collège des petites entreprises, membre du bureau exécutif et administrateur du GES à sa création en 2019…

Après le fiasco du Stade de France, la confiance des Français envers les pouvoirs publics pour sécuriser les événements sportifs remonte. Même en ayant recours à l’IA….

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Après le fiasco du Stade de France, la confiance des Français envers les pouvoirs publics pour sécuriser les événements sportifs remonte. Même en ayant recours à l’IA. Tels sont les principaux enseignements du dernier Baromètre Fiducial/Odoxa sur la sécurité des Français. Après une légère amélioration à l’automne, les Français sont aujourd’hui 48 % à se dire confiants. La publication du projet de loi spécifique à l’organisation des Jeux de Paris n’y est probablement pas étrangère, d’autant que les principales mesures de sécurité sont largement approuvées par les Français. Ainsi, nos concitoyens soutiennent le recours à l’IA dans les stades (89 %) et sur la voie publique (74 %). En ce qui concerne l’utilisation des scanners corporels, 84 % des Français considèrent qu’ils sont plus efficaces qu’une palpation pour détecter les objets dangereux…