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Le Cnaps, chargé de mettre en œuvre la réglementation applicable à la sécurité privée, a réalisé, lors de la Coupe du monde de rugby, des contrôles « ciblés », visant des…

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Le Cnaps, chargé de mettre en œuvre la réglementation applicable à la sécurité privée, a réalisé, lors de la Coupe du monde de rugby, des contrôles « ciblés », visant des dispositifs « mis en place tant aux abords des sites d’entraînement et stades que des sites destinés à l’accueil des équipes sportives (camps de base) et du public (villages rugby et autres fan zones) ». Lors des contrôles de 124 sociétés et 1.510 agents de sécurité privée sur 31 sites et évènements, le Cnaps a constaté que la réglementation « est généralement bien respectée », même si des « points de fragilités » que l’établissement associe aux évènements sportifs de grande ampleur, ont été identifiés. « Plusieurs cas de suspicion de défaut de transparence sur la sous-traitance ont été également relevés dans le Nord, le Sud-Est et l’Ouest et des cas de travail dissimulé dans le Sud et le Sud-Est…

Pour la troisième année consécutive, l’Anssi (Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information) publie son rapport sur les cyberattaques. Elles ont augmenté d…

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Pour la troisième année consécutive, l’Anssi (Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information) publie son rapport sur les cyberattaques. Elles ont augmenté de 30 % par rapport à 2022. Les cybercriminels attaquent de façon massive et visent en particulier les PME, les collectivités, les établissements de santé et de plus en plus les associations. L’Agence note aussi une nette recrudescence de l’hacktivisme « attaques destinées à promouvoir un discours politique, à entraver l’accès à des contenus en ligne ou à porter atteinte à l’image d’une organisation. »  en particulier en provenance de Russie. Enfin, elle constate une augmentation du nombre d’attaques contre des téléphones portables professionnels et personnels afin d’espionner des individus ciblés. Cette situation est une conséquence de l’essor du marché privé de la surveillance…

La technologie a transformé et amélioré les modes de gestion des entreprises, mais a également introduit toute une série de nouveaux risques en matière de cy…

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La technologie a transformé et amélioré les modes de gestion des entreprises, mais a également introduit toute une série de nouveaux risques en matière de cybersécurité. Le danger est partout. Les données numériques sont devenues la clé de voûte des entreprises. De ce fait, elles ont une valeur considérable pour les cybercriminels et les dommages que pourrait subir une entreprise à la suite d’une atteinte à sa réputation, d’un vol de propriété intellectuelle et d’une perte de revenus sont considérables. Aussi, les dirigeants doivent se concentrer sur la gestion des risques et déterminer les aspects essentiels à la mission de leur entreprise, puis définir la meilleure façon de les protéger après avoir évaluer précisément les risques qui la menacent et élaborer une stratégie de cybersécurité qui s’aligne sur le profil de risque de l’entreprise…

En 2023, les députés ont voté une loi sécurité relative aux JO encadrant, pour la première fois, l’usage de la vidéosurveillance algorithmique. Dans la foulée, le min…

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En 2023, les députés ont voté une loi sécurité relative aux JO encadrant, pour la première fois, l’usage de la vidéosurveillance algorithmique. Dans la foulée, le ministère de l’Intérieur a lancé un appel d’offres découpé en 4 lots pour tester cette technologie. Les résultats sont tombés récemment et trois start-up tricolores ont été retenues. Celle qui a obtenu les marchés d’analyse vidéo pour l’Ile-de-France et celui des gares et stations de la SNCF et la RATP, est Wintics. Cette jeune pousse a développé une solution qui se connecte aux réseaux de caméras existants. Grâce à l’intelligence artificielle, elle est capable de détecter des risques ou menaces, puis de les notifier à des agents de sécurité. Les autres start-up sélectionnées sont ChapVision et Videtics …

 

La cérémonie d’ouverture des JO sur la Seine continue à charrier son lot d’inquiétude en matière de sécurité. L’enjeu est de taille, le 26 juillet 2024, 10.000 ath…

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La cérémonie d’ouverture des JO sur la Seine continue à charrier son lot d’inquiétude en matière de sécurité. L’enjeu est de taille, le 26 juillet 2024, 10.000 athlètes olympiques défileront sur la Seine, sur 6 kilomètres entre les ponts d’Austerlitz et d’Iéna, devant un parterre d’environ 500.000 spectateurs. Paris 2024 s’apprête à lancer sa 4^e et dernière vague d’appel d’offres, destinée à finaliser ses besoins au total estimé entre 17.000 et 22.000 agents privés sur toute la durée des Jeux, une grande partie concernant la cérémonie d’ouverture. Sur les 60 lots à attribuer, la moitié concerne cette journée du 26 juillet. Des marchés que Paris 2024 a dû relancer et retravailler devant le manque de candidats sans doute effrayés par l’ampleur et la complexité de l’opération. Certains regrettent des contrats mal ficelés ou aux pénalités lourdes…