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L’annonce a fait l’effet d’une traînée de poudre, sur les réseaux sociaux. Aux États-Unis, le loueur Hertz a annoncé la revente – prématurée – d’environ 20.000 automob…

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L’annonce a fait l’effet d’une traînée de poudre, sur les réseaux sociaux. Aux États-Unis, le loueur Hertz a annoncé la revente – prématurée – d’environ 20.000 automobiles zéro émission, dont de nombreux exemplaires issus des catalogues de Tesla ou encore Polestar. Cette décision est liée à la sinistralité plus importante constatée sur ce type de véhicules et aux coûts de réparation plus élevés que sur les véhicules thermiques équivalents. En outre, les rééquilibrages tarifaires – à la baisse – régulièrement observées chez les constructeurs de véhicules 100 % électriques font peser de grandes incertitudes sur les valeurs résiduelles des modèles livrés. Pour remplacer ces véhicules dans sa flotte, le loueur américain prévoit l’acquisition de nouveaux modèles… thermiques mais, hors États-Unis, l’entreprise tiendra son objectif d’électrifier 70 à 90 % de la flotte de location Hertz en Europe d’ici 2030…

Amplification du malus, nouveau bonus écologique, accélération du verdissement du parc, permis de conduire dématérialisé et retrait de points… les changements sont…

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Amplification du malus, nouveau bonus écologique, accélération du verdissement du parc, permis de conduire dématérialisé et retrait de points… les changements sont nombreux en 2024 pour les automobilistes et les professionnels du secteur. Publiée au journal officiel du 30 décembre dernier, la loi de Finances pour 2024 durcit la fiscalité applicable aux véhicules dont les émissions de CO2 sont supérieures à 117 g/km. Autre changement de taille : jusqu’ici de 50.000 euros, le plafond maximal est relevé à 60.000 euros pour 193 g/km de CO2, faisant drastiquement grimper la facture dès 170 g/km. De plus, le plafonnement du malus à 50 % du montant d’acquisition du véhicule, « qui bénéficie spécifiquement aux véhicules très onéreux et très polluants« , est supprimé. La loi de Finances révise aussi le malus au poids. Le seuil de déclenchement du dispositif, actuellement fixé à 1,8 tonne, est porté à 1,6 tonne et un barème progressif est introduit…

Si je devais définir l’autopartage en entreprise, je dirais qu’il s’agit, pour une société ou une collectivité, de mettre à disposition de ses collaborateurs une flott…

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Si je devais définir l’autopartage en entreprise, je dirais qu’il s’agit, pour une société ou une collectivité, de mettre à disposition de ses collaborateurs une flotte de véhicules, qu’ils soient thermiques, hybrides ou électriques, pour leur permettre de se déplacer dans le cadre professionnel et dans une plage horaire définie. Le carsharing offre de multiples avantages, qu’ils soient :

• Économiques, en permettant d’optimiser la gestion de la flotte automobile et d’en réduire les coûts inhérents
• Sociaux, en facilitant la mobilité des salariés à travers une solution de transport flexible et adaptée à leurs besoins, notamment pour ceux qui ne disposent pas d’un véhicule de fonction
• Environnementaux, en encourageant l’utilisation de véhicules propres réduisant ainsi l’empreinte carbone et promouvant une culture d’entreprise responsable…

 

 

 

En collaboration avec l’Ifop, le 7ème baromètre d’Alphabet France se penche sur les trajets domicile-travail.  Celui-ci reflète, outre l’évolution de l’usage du…

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En collaboration avec l’Ifop, le 7ème baromètre d’Alphabet France se penche sur les trajets domicile-travail.  Celui-ci reflète, outre l’évolution de l’usage du véhicule électrique, l’attachement des actifs aux avantages proposés par les employeurs en termes de mobilité. Ils seraient une source de meilleure qualité de vie. 75 % des actifs viennent au travail en voiture. 46 % tout le temps seuls, tandis que 29 % ont déjà pratiqué ou pratiquent le covoiturage. 9 % des actifs ont accès à un véhicule de fonction, c’est moins qu’en 2022 (11 %). Concernant ceux qui roulent en électrique et en hybride rechargeable, 88 % ont accès à des solutions de recharge fournies par leur entreprise. 68 % disposent d’une borne sur leur lieu de travail, 33 % à leur domicile, 17 % ont une carte pour recharger le véhicule sur les bornes publiques (le cumul de plusieurs de ces solutions étant parfois constaté)…

Si un secteur affiche une belle humeur, c’est bien celui des ventes d’automobiles aux professionnels. Depuis le début de l’année, il ne cesse de progresser. La raison d…

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Si un secteur affiche une belle humeur, c’est bien celui des ventes d’automobiles aux professionnels. Depuis le début de l’année, il ne cesse de progresser. La raison de cette embellie ? La fin de la disette de produits, l’arrivée de nouvelles gammes et une offre enrichie en motorisations rechargeables. Car les propulsions vertes tirent la croissance vers le haut. Leurs commandes ont enregistré des sommets : + 84,44 % pour le 100 % électrique, + 46,98 % pour les hybrides simples et + 35,65 % pour les hybrides rechargeables, au cours des neuf premiers mois de l’année. L’électrification du parc présente de nombreux avantages fiscaux : exonération de la taxe à l’utilisation – qui remplace celle sur les véhicules de société -, bonus écologique, abattement de 50 % sur les charges patronales des avantages en nature. Ses atouts restent indéniables à l’usage grâce à un moindre coût de l’énergie et de l’entretien…