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Les détenteurs d’une voiture électrique de fonction peuvent souffler. Ils vont continuer à bénéficier d’un régime spécial en ce qui concerne l’évaluation des avantages…

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Les détenteurs d’une voiture électrique de fonction peuvent souffler. Ils vont continuer à bénéficier d’un régime spécial en ce qui concerne l’évaluation des avantages en nature (AEN) liés à la mise à disposition par leur employeur d’un véhicule électrique.

Depuis le 1er janvier 2020, un abattement de 50 % est à effectuer sur l’avantage en nature dans sa globalité pour les détenteurs d’un véhicule électrique de fonction, avec un montant plafonné à 1 800 euros par an. Ce coup de pouce devait prendre fin au 31 décembre 2022, il est finalement prolongé de deux ans. La Sécurité sociale confirme en outre que les frais d’électricité payés par l’employeur n’entrent pas en compte dans le calcul de l’avantage en nature. L’administration annonce par ailleurs qu’elle va prochainement apporter quelques clarifications sur les règles à appliquer en cas de mise à disposition d’une borne de recharge par l’employeur en-dehors du lieu de travail…

Confrontées à l’électrification accélérée de leur parc automobile ainsi qu’à une refonte de leur politique de mobilité, les entreprises doivent faire face désormais à u…

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Confrontées à l’électrification accélérée de leur parc automobile ainsi qu’à une refonte de leur politique de mobilité, les entreprises doivent faire face désormais à une forte hausse des coûts.

Comme l’expliquent les loueurs longue durée qui participent majoritairement au financement du parc automobile des entreprises, « notre croissance cette année est encore dans notre portefeuille de commandes ». Traduction : Les véhicules commandés tardent à être livrés et les remises « grands comptes » consenties par les constructeurs aux flottes d’entreprise ont globalement été réduites de moitié. A cela s’ajoutent la hausse des tarifs des véhicules, celle des taux d’intérêt et du prix de l’énergie. tous ces facteurs se combinent pour engendrer depuis l’année dernière une augmentation en moyenne de 15 à 25 % des coûts d’usage des véhicules dans les entreprises en Europe…

 

Les exemples d’entreprises qui basculent tout ou partie de leur flotte automobile à l’électrique se multiplient. Equans, le géant des services multitechniques, a déc…

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Les exemples d’entreprises qui basculent tout ou partie de leur flotte automobile à l’électrique se multiplient. Equans, le géant des services multitechniques, a décidé de rejoindre le mouvement. Une initiative qui débute en France où l’entreprise dispose de 16.000 véhicules. La première étape consistera à basculer les 4.000 voitures de fonction à l’électrique. Le projet a été mené en étroite collaboration entre les achats, les ressources humaines et la direction de la flotte. La piste de l’électrique a été validée en raison de « TCO très compétitifs par rapport à des équivalents thermiques« , de telle sorte que les cinq catégories de la car policy se composent quasi-exclusivement de modèles électriques. Un moyen de réduire la note et l’allongement des contrats de location, qui vont s’étirer, pour certains, jusqu’à 5 ans…

Lors de leur dernière réunion en trilogue jeudi soir, les représentants de la Commission, du Parlement, et du Conseil européen ont validé le texte qui bannira les…

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Lors de leur dernière réunion en trilogue jeudi soir, les représentants de la Commission, du Parlement, et du Conseil européen ont validé le texte qui bannira les voitures neuves équipées de moteurs thermiques à compter de 2035. Il s’agit d’atteindre la neutralité carbone des véhicules légers en circulation en 2050, sachant que leur durée de vie est de 15 ans et que la voiture représente aujourd’hui 14,5 % des émissions de l’Union Européenne. Il va, de fait, falloir surmonter de nombreux défis pour atteindre l’objectif. S’assurer que les Européens achètent effectivement des voitures moins polluantes mais pour l’instant beaucoup plus chères (entre 30 et 40 % à l’achat) ne sera pas le moindre – d’autant que l’inflation touche davantage les composants des véhicules à batterie. Les pouvoirs publics misent pour cela sur des mesures de soutien (bonus, leasing social). L’UE prévoit aussi de travailler sur une législation qui accélérerait la transition des flottes des grandes entreprises, dès 2023…

Zoom de l’Arval Mobility Observatory. Alors que le Mondial de l’Auto de Paris  a fait la part belle aux véhicules électriques et électrifiés et que toute la filière au…

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Zoom de l’Arval Mobility Observatory. Alors que le Mondial de l’Auto de Paris  a fait la part belle aux véhicules électriques et électrifiés et que toute la filière automobile européenne se met en ordre de marche pour ne plus produire de modèles thermiques dès 2035  au nom de la lutte contre le réchauffement climatique, des voix s’élèvent pour « s’interroger » sur le caractère vraiment écolo de la voiture électrique… Jusqu’à présent, les interrogations et les freins à l’adoption du véhicule électrique tournaient avant tout autour de l’offre disponible de modèles, l’autonomie et le maillage suffisant du territoire en bornes de recharge. Aujourd’hui, le débat s’est donc déplacé sur un autre terrain, celui de ‘usage. L’Ademe souligne notamment que seuls les modèles dotés d’une batterie de moins de 60 kWh sont réellement bénéfiques pour l’environnement, soit des petits modèles…