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Face à la déferlante des véhicules chinois, la Commission européenne réunit la filière automobile pour sauver un secteur qui emploie directement 1,4 million de p…

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Face à la déferlante des véhicules chinois, la Commission européenne réunit la filière automobile pour sauver un secteur qui emploie directement 1,4 million de personnes et soutient 13 millions d’emplois indirects à travers l’UE. Un rapport de l’Institut Jacques-Delors explore les options de sortie de crise. Le diagnostic est implacable : l’industrie automobile européenne est prise dans un étau, coincée entre 3 objectifs souvent contradictoires : la décarbonation totale d’ici 2035, maintenir sa compétitivité face à la Chine et assurer notre sécurité économique alors que nous dépendons à 92 % de Pékin pour les anodes et à 81 % pour les cathodes de batteries. Le rapport souligne qu’il serait judicieux de diversifier les technologies, ce qui permettrait de réduire les risques liés à une dépendance excessive à la Chine sur les batteries, mais aussi de valoriser l’expertise européenne dans les motorisations conventionnelles…

L’incertitude réglementaire et fiscale pèse sur le marché des flottes automobiles depuis plusieurs mois. Durcissement du malus écologique, réforme des avantages en…

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L’incertitude réglementaire et fiscale pèse sur le marché des flottes automobiles depuis plusieurs mois. Durcissement du malus écologique, réforme des avantages en nature et de la loi d’Orientation des Mobilités, norme CAFE… 2025 ne sera pas de tout repos. Selon Yann Guillaud, expert en flottes automobiles, cela peut aussi être une opportunité pour les entreprises de repenser leurs stratégies. Les gestionnaires de flotte doivent continuer à optimiser leurs contrats, peut-être en prolongeant les durées de location ou en ajustant les coûts d’entretien pour des véhicules plus anciens. Mais il faut rester attentif à ne pas avoir des parcs trop vieillissants. La période qui s’ouvre sera cruciale pour préparer une transition durable…https://www.auto-infos.fr/article/les-flottes-automobiles-doivent-profiter-de-l-incertitude-actuelle-pour-repenser-leurs-strategies.285693

Depuis décembre 2024, les montants du bonus écologique sont revus à la baisse, le bonus VUL pour les entreprises remplacé par un système de certificats d’économie d…

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Depuis décembre 2024, les montants du bonus écologique sont revus à la baisse, le bonus VUL pour les entreprises remplacé par un système de certificats d’économie d’énergie, et la prime à la conversion ainsi que la surprime ZFE supprimées. Des mesures que le gouvernement tente de compenser par des exonérations fiscales plus importantes dans certains domaines de la mobilité. Ainsi, depuis le 1er janvier 2025 : Le plafond d’exonération fiscale de la prime carburant est relevé à 300 euros par an, au lieu de 200 euros. Le plafond d’exonération fiscale de la prime de recharge de véhicule électrique passe de 500 à 600 euros par an. Enfin, le plafond d’exonération fiscale du cumul forfait mobilités durables et abonnement transports en commun augmente lui aussi de 100 euros, pour passer de 800 à 900 euros par an…

En 2025, le secteur de la gestion de flotte automobile devra faire face à des bouleversements majeurs, portés par des évolutions technologiques et des exigence…

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En 2025, le secteur de la gestion de flotte automobile devra faire face à des bouleversements majeurs, portés par des évolutions technologiques et des exigences réglementaires accrues. dont l’interdiction des ventes de véhicules thermiques en Europe à partir de 2035, la révision attendue des quotas de verdissement des flottes inscrits dans la loi LOM, le développement des Zones à Faibles Émissions (ZFE-m). Les gestionnaires de flottes restent coincés entre les coûts, d’une part, et les objectifs environnementaux, d’autre part. La conversion vers une flotte électrique entraîne toujours des investissements significatifs, notamment pour l’achat de véhicules souvent plus chers à l’acquisition et pour l’installation d’infrastructures de recharge. Malgré ces obstacles, la transition énergétique offre des opportunités significatives, comme l’optimisation des coûts à long terme…

Les constructeurs automobiles et les gouvernements nationaux font pression sur Bruxelles pour aider le secteur automobile européen en difficulté avec des milli…

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Les constructeurs automobiles et les gouvernements nationaux font pression sur Bruxelles pour aider le secteur automobile européen en difficulté avec des milliers d’emplois menacés en raison d’une faible demande, de la concurrence chinoise et de ventes de véhicules électriques inférieures aux attentes. Interrogé sur la possibilité de modifier les règles relatives aux émissions de CO2 des voitures à moteur thermique, Wopke Hoekstra, commissaire européen chargé du climat, s’est montré catégorique. « La réponse est non », a-t-il déclaré. L’Association des constructeurs européens d’automobiles(Acea) a averti que l’industrie pourrait être contrainte de régler jusqu’à 15 milliards d’euros d’amendes si elle ne parvenait pas à atteindre les objectifs fixés pour 2025, un montant qui, selon elle, pénaliserait l’investissement. Wopke Hoekstra a minimisé ces préoccupations…