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Apparus à grande échelle dans les années 1960 aux États-Unis avec l’essor de la société de consommation, les centres d’appel se sont développés grâce à leur capacité à…

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Eric Lefiot-Facilities, site du Facility management

Le constat fait par la quasi-totalité des entreprises de services à l’immobilier et aux occupants est inquiétant : nos ressources humaines de production se réduisent chaque jour davantage.

Pour le vérifier, il suffit de sonder les entreprises de maintenance et d’exploitation : elles recherchent, sans délai, plusieurs dizaines de milliers de techniciens et de factotums. Même constat dans le secteur de la propreté où il manque déjà cinquante mille salariés ou encore dans celui de la sécurité/sûreté où il faudrait recruter vingt-cinq mille salariés à très brève échéance, pour les Jeux de 2024 notamment. Les besoins en restauration sont immenses … Ces métiers de service, souvent considérés à faible valeur ajoutée, restent peu attractifs par leur niveau de rémunération modéré et l’absence de télétravail. Le FM souffre de cette carence au même titre que les métiers eux-mêmes.

Par ailleurs, le pilotage conventionnel des métiers de service multiplie le nombre de passages sur site pour des réalisations ponctuelles, successives et parfois superflues qui génèrent des surcoûts d’interventions, une absence d’efficacité réelle et des rallongements de délai …

La réponse régulièrement opposée à ces questions est en effet le respect des dispositions conventionnelles qui ont vocation à protéger chaque métier, et ses opérants…

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En cinq ans, la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) a reçu 17.483 notifications concernant des violations de données personnelles avec un p…

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Les entreprises, qui ont vu disparaître en début d’année le bonus écologique pour l’achat de voiture électrique, voient maintenant arriver la perspective d’amendes en…

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Les entreprises ont de plus en plus recours pour leurs salariés à des formations destinées à apprendre à « gérer » son stress au travail. « Elles sont extr…

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Après le covid et le déploiement du télétravail, il a fallu offrir un cadre sécurisant et confortable pour faire revenir les salariés dans les bureaux. Dans les…

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Les Cahiers du CRDIA (Consortium de Recherche de l’Ile Adam) vous informent à un rythme bimensuel des dernières innovations relatives aux objets de leurs recherches sur le FM.

Avec au sommaire d…

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Pascal Jean-Facilities, site du Facility management

Depuis juillet 2023, la construction des immeubles de bureau doit respecter les exigences de la réglementation environnementale RE 2020.

Dans la continuité des normes qui se sont succédé depuis le choc pétrolier de 1973, cette réglementation ajoute de nouvelles exigences environnementales qui changeront fondamentalement la manière de construire nos futurs bureaux.

La première des nouveautés est d’imposer des limites aux quantités de carbone émises pendant toute la phase de vie du nouvel immeuble, de l’extraction de ses matériaux à leur mise en décharge. Un calcul en Analyse de Cycle de Vie, dont le principe était déjà inscrit dans l’expérimentation E+C-, invitera fortement à utiliser des produits biosourcés (laine, chanvre, paille…) ou géosourcés (pierre, terre cuite…) comme des matériaux issus du recyclage.

Mais la RE 2020 va plus loin car elle a retenu une ACV dynamique qui, sur 50 ans, calcule les émissions de carbone des éléments de construction en leur appliquant un coefficient qui les diminuent plus elles se produisent tardivement. Cette méthode favorise de fait l’usage du bois. Le béton, idéalement décarboné, sera réservé aux infrastructures voire à des planchers bois-béton.

Pour réduire l’empreinte carbone des matériaux de construction, la solution la moins coûteuse restera d’en réduire la quantité et donc les volumes qu’ils serviront à créer. On peut donc imaginer que les futurs bâtiments seront plus compacts qu’aujourd’hui.

La seconde est la limitation, en été, du nombre d’heures d’inconfort, correspondant à une température intérieure maxi qui variera entre 26°C et 28°C. La climatisation étant encore moins envisageable que dans les réglementations précédentes, de gros efforts devront être faits pour mettre les locaux à l’ombre, en utilisant des masques naturels (arbres, ombres portées) ou imposées, comme les pare-soleils. On verra également revenir des ventilateurs de plafond ou brasseurs d’air.

La troisième est le bonus de consommation accordé aux énergies renouvelables et autoconsommées. Les façades, toits et pelouses (car la parcelle fait désormais partie du périmètre de la norme) pourraient se couvrir de panneaux solaires et autres systèmes de chauffages thermodynamiques, dans la limite, bien-sûr, de leur poids carbone …

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Au même titre que l’énergie, l’eau est un enjeu majeur de la transition écologique. Et si les défis de sa préservation et sa gestion sont déjà, en grande partie, intégr…

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De plus en plus d’entreprises, notamment parmi celles qui proposent le télétravail (53 % selon le baromètre Parella-CSA 2023), décident de repenser l’am…

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