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Dans un arrêt publié mercredi, la Cour de cassation considère qu’un chauffeur Uber ne peut être considéré comme un travailleur indépendant, et doit être requalifié com…

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Dans un arrêt publié mercredi, la Cour de cassation considère qu’un chauffeur Uber ne peut être considéré comme un travailleur indépendant, et doit être requalifié comme salarié. La décision, qu’elle vient de publier sur son site, va faire jurisprudence et avoir des conséquences pour le modèle économique de tous les opérateurs de plateformes. «L’existence d’un contrat de travail peut […] être établie lorsque ces personnes fournissent des prestations dans des conditions qui les placent dans un lien de subordination juridique permanente à l’égard du donneur d’ordre », affirme la Cour de cassation et c’est ce qu’elle constate en l’espèce. Elle renvoie sur ce point à sa « jurisprudence constante » sur le lien de subordination

A partir de lundi, le port de Gennevilliers (92) sera relié quotidiennement à Paris par barge à propulsion 100 % électrique. Celle-ci, capable de contenir jusqu’à…

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A partir de lundi, le port de Gennevilliers (92) sera relié quotidiennement à Paris par barge à propulsion 100 % électrique. Celle-ci, capable de contenir jusqu’à 3.000 petits colis par jour, va appareiller pour le compte de 3 clients : Lyreco (consommables de bureau), le géant du meuble Ikea et Paprec, collecteur de déchets recyclables. Une fois dans Paris, le navire écolo qui remplacera quelques dizaines de camionnettes classiques desservira 4 points du fleuve, répartis entre le port de Javel (15e) et Henri IV (4e). Une fois amarré, les livraisons «du dernier kilomètre» seront assurées par une trentaine de vélos cargo électriques, à la charge utile de 250 kg chacun. Aucun besoin d’infrastructures de déchargement type grue mobile…

C’est une nouvelle salve de décisions judiciaires qui ébranle un peu plus le modèle économique des plates-formes numériques. Le conseil de prud’hommes de Paris vient de requalifier en contrat de travail, la relation entre la défunte société de livraison de repas Take Eat Easy et 4 coursiers que celle-ci employait, leurs permettant ainsi…

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C’est une nouvelle salve de décisions judiciaires qui ébranle un peu plus le modèle économique des plates-formes numériques. Le conseil de prud’hommes de Paris vient de requalifier en contrat de travail, la relation entre la défunte société de livraison de repas Take Eat Easy et 4 coursiers que celle-ci employait, leurs permettant ainsi d’obtenir des indemnités. Lorsqu’elle a mis la clé sous la porte en juillet 2016, Take Eat Easy s’appuyait, en France, sur une armada de quelque 2.500 livreurs à vélo, qui travaillaient sous le statut d’autoentrepreneurs. Les individus relevant de ce régime sont présumés être des indépendants, avec des droits (notamment en matière de protection sociale) inférieurs à ceux d’un salarié «ordinaire»…

Ford s’est associé à la start-up Agility Robotics, spécialisée dans la robotique, pour créer Digit, un robot humanoïde qui prend place dans un véhicule autonome et livre des colis sur le pas de votre…

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Ford s’est associé à la start-up Agility Robotics, spécialisée dans la robotique, pour créer Digit, un robot humanoïde qui prend place dans un véhicule autonome et livre des colis sur le pas de votre porte ! Pour accomplir cette mission, Digit dispose de deux bras, de deux jambes articulées, de caméras et d’un Lidar. Ainsi équipé, il peut porter et transporter des colis pesant plus de 18 kg. Il est même en mesure de monter et descendre des escaliers ! Pour le constructeur américain, Digit représente une nouvelle étape vers le développement d’une flotte de robots-taxis, qui pourrait être déployée en 2021…

La chambre sociale de la Cour de cassation a rendu pour la 1ère fois un arrêt sur les travailleurs des plates-formes numériques. Il requalifie en salarié un coursier à vélo autoentrepreneur travaillant…

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La chambre sociale de la Cour de cassation a rendu pour la 1ère fois un arrêt sur les travailleurs des plates-formes numériques. Il requalifie en salarié un coursier à vélo autoentrepreneur travaillant pour l’entreprise de livraison de repas Take eat easy. Et menace le modèle économique des plates-formes qui s’exonére du droit du travail en ayant recours à des indépendants payés à la tâche. Pour autant, le législateur, soucieux de préserver les «gisements d’emploi» de ces opérateurs multiplie les tentatives pour les sécuriser. Dans le projet de loi LOM (loi d’orientation sur les mobilités), l’article 20 autorise les plates-formes à rédiger des «chartes» dont les engagements les prémunissent de la requalification de la relation contractuelle en salariat…