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Les soupçons de « greenwashing » ne passent plus entre les mailles du filet. Le nombre de nouveaux recours en justice liés au changement climatique et les accusations…

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Les soupçons de « greenwashing » ne passent plus entre les mailles du filet. Le nombre de nouveaux recours en justice liés au changement climatique et les accusations de tromperie (« climate-washing ») contre les entreprises bondissent, selon une nouvelle étude de référence publiée par l’Institut Grantham. Parmi les exemples récents, plusieurs fonds de pension poursuivent Volkswagen. Des ONG jugent également trompeuses les affirmations de la FIFA selon lesquelles la coupe du monde de football au Qatar aurait été « neutre » en carbone. Le plus gros nombre de dossiers émanent des Etats-Unis mais signe de diversification, de nouvelles affaires ont été identifiées dans sept nouveaux pays au cours des douze derniers mois : Bulgarie, Chine, Finlande, Roumanie, Russie, Thaïlande et Turquie…

 

 

La collecte et le recyclage des déchets français sont encore insuffisants par rapport aux objectifs européens. Pour gagner en performance et optimiser le traitement…

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La collecte et le recyclage des déchets français sont encore insuffisants par rapport aux objectifs européens. Pour gagner en performance et optimiser le traitement de nos déchets, l’Etat a pourtant bien déployé un dispositif d’envergure. Son principal outil : faire peser la responsabilité et le financement de la gestion des déchets sur les industriels qui les mettent sur le marché. Autrement dit : les entreprises doivent prendre en charge la fin de vie des produits qu’elles vendent. La loi Agec actait ainsi la création de onze nouvelles filières à responsabilité élargie du producteur (REP). Encadrées par le principe du « pollueur-payeur », les différentes filières sont cependant ralenties par des litiges sur la propriété des déchets…

 

Aux côtés d’Airscooter de Franky Zapata, mini-hélicoptère hybride électrique, une centaine de jeunes pousses de la « smart city » sont présentes à VivaTech, le plus gra…

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Aux côtés d’Airscooter de Franky Zapata, mini-hélicoptère hybride électrique, une centaine de jeunes pousses de la « smart city » sont présentes à VivaTech, le plus grand Salon européen dédié à la tech. A la croisée des chemins entre greentech et deeptech chacune des start-up complète la solution de l’autre, tout en fondant son produit ou service sur l’existant. Mobilité, énergie, qualité de l’air, les applications pour la smart city sont infinies. Ainsi Biomitech qui propose de dépolluer et décarboner l’air des villes, « et des industries sur le long terme », grâce à des microalgues qui captent le CO_2, a conquis Marseille et Aix-en-Provence qui l’ont autorisée à tester son dispositif d’ici à la fin de l’année. De même, la start-up marseillaise Deki a lancé un logiciel pour optimiser la livraison dans les villes…

Tirées par leurs donneurs d’ordre et poussées par les nouvelles législations, les petites et moyennes entreprises n’ont désormais d’autre choix que d’évaluer leurs…

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Tirées par leurs donneurs d’ordre et poussées par les nouvelles législations, les petites et moyennes entreprises n’ont désormais d’autre choix que d’évaluer leurs fournisseurs et le coût complet, social et environnemental, de leur produit ou service. Une démarche vertueuse qui peut même créer de l’emploi, booster la rentabilité de 3 à 4 % (étude du cabinet Bain & Company et d’Ecovadis), voire stimuler l’innovation. Une raison de plus pour les PME de s’y plonger. L’accélération est liée à l’évolution réglementaire et législative – avec le devoir de vigilance qui s’applique depuis 2017 aux gros donneurs d’ordre, puis les lois Agec en 2020 et climat et résilience en 2021, qui concernent aussi les PME. Et à la crise du Covid – qui a montré l’importance de la relocalisation des chaînes de valeurs…

Au total, 1.100 établissements ont été contrôlés entre 2021 et 2022. La DGCCRF a examiné l’utilisation des « allégations environnementales » comme argument commercial pou…

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Au total, 1.100 établissements ont été contrôlés entre 2021 et 2022. La DGCCRF a examiné l’utilisation des « allégations environnementales » comme argument commercial pour les produits non alimentaires et les services. Produits « respectueux de l’environnement », « éco-responsable », « écologique », « neutre en carbone »… autant de qualificatifs que la Répression des fraudes a scruté à la loupe. Résultat ? Un quart des 1 100 établissements contrôlés sont « en anomalie ». « Ces anomalies correspondaient à la mise en avant d’allégations globalisantes, non justifiées, imprécises, ambiguës ou même contraires aux dispositions légales. De nombreuses allégations étaient susceptibles de tromper le consommateur, voire contraires à la réglementation spécifique à certains produits », écrit la DGCCRF…