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Le groupe Michelin souhaitant s’engager dans la réduction des émissions de CO2 de ses opérations logistiques, a choisi la Start-Up nantaise Neoline pour son service…

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Le groupe Michelin souhaitant s’engager dans la réduction des émissions de CO2 de ses opérations logistiques, a choisi la Start-Up nantaise Neoline pour son service innovant de transport maritime « vert ». « Ce service s’appuie sur l’énergie propre et renouvelable du vent comme propulsion principale de ses voiliers cargos de 136m équipés de 4.200 m2 de voiles. Il s’agit d’une solution unique, ouverte à tous les chargeurs, qui permettra de réduire de 90% les émissions de CO2 liées au transport maritime de marchandises transatlantique » détaille la Start-Up. Les pneumatiques seront chargés sur les voiliers cargo dans des conteneurs depuis Halifax au Canada, et traverseront ensuite l’Atlantique jusqu’à Montoir-de-Bretagne. Un premier navire sera mis en service en 2023, puis un second en 2024, pour atteindre à terme au moins 50% des conteneurs du groupe transportés sur cet axe.

 

Le symbole de la transformation phénoménale du marché mondial de l’énergie et de celle de ce champion français qui a entrepris depuis plusieurs années déjà une dive…

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Le symbole de la transformation phénoménale du marché mondial de l’énergie et de celle de ce champion français qui a entrepris depuis plusieurs années déjà une diversification à marche forcée vers d’autres sources d’énergie. Total va donc s’appeler Total Energies, « énergies » avec un S donc. Car ce groupe est aussi un géant du gaz (il est le numéro deux mondial du gaz naturel liquéfié) mais il est également un producteur d’électricité, électricité produite avec du gaz mais pas seulement, Total est de plus en plus présent en effet dans le renouvelable, l’éolien et le solaire. Des sources d’énergie qui lui permettent de réduire son empreinte carbone… car ce changement de nom, c’est aussi le symbole de cette pression qui monte de la société civile et des investisseurs, de la Bourse, des banques, qui se détournent des sociétés trop marquées pétrole ou charbon.

L’urgence climatique est évidente et absolument pas secondaire, bien au contraire. Mais l’urgence environnementale ne se…

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L’urgence climatique est évidente et absolument pas secondaire, bien au contraire. Mais l’urgence environnementale ne se réduit pas à l’urgence climatique. Si le vivant disparaît actuellement sur notre planète, la principale raison n’en est pas, au moins pour le moment, le réchauffement climatique. Les premières causes d’effondrement de la biodiversité sur terre restent la destruction des habitats, les pollutions généralisées des écosystèmes et les destructions directes des espèces. Naturellement, ces différents facteurs interagissent et il en résulte une aggravation et une accélération des perturbations environnementales. Mais c’est bien le vivant qui est l’indicateur le plus intégrateur de toutes les atteintes environnementales faites à notre planète. On note ainsi la disparition d’une espèce animale ou végétale disparaît toutes les 20 minutes sur notre planète.

Les sénateurs ont adopté une proposition de loi visant à réduire l’empreinte environnementale de l’ensemble de la chaîne de valeur du numérique, des terminaux aux…

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Les sénateurs ont adopté une proposition de loi visant à réduire l’empreinte environnementale de l’ensemble de la chaîne de valeur du numérique, des terminaux aux centres de données, en passant par les réseaux. Aujourd’hui, l’empreinte carbone du secteur représente 2 % des émissions de CO₂ françaises. Cette part devrait passer à 7 % en 2040, faute d’une action rapide, selon le rapport sénatorial à l’origine de la proposition de loi. Le texte poursuit quatre objectifs: faire prendre conscience aux utilisateurs du numérique de son impact environnemental ; limiter le renouvellement des terminaux numériques ; promouvoir des usages numériques écologiquement vertueux ; prévenir l’augmentation des consommations et émissions, notamment dans le contexte du déploiement de la 5G.

En 2020, certaines entreprises ont mieux résisté aux crises sanitaires, sociales, économiques dues à la pandémie du Covid-19. Parmi celles-ci, beaucoup ont…

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En 2020, certaines entreprises ont mieux résisté aux crises sanitaires, sociales, économiques dues à la pandémie du Covid-19. Parmi celles-ci, beaucoup ont mis en place une démarche avancée de responsabilité sociétale (RSE) et sont mises au défi par leurs partenaires. Leurs manquements sont non seulement dénoncés dans les rapports d’ONG mais aussi devant la justice comme le montrent les 2 affaires qui visent Total, l’une sur le climat, l’autre pour un projet en Ouganda. La fronde vient aussi des actionnaires qui demandent des comptes sur l’action climatique la déforestation ou les conditions de travail. Cela offre une capacité de résilience supplémentaire qui va se faire de plus en plus indispensable.