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Sur ce 1^er semestre 2024, la demande placée de bureaux en Ile-de-France s’inscrit dans la lignée de 2023 avec 853.300 m² (- 5 % sur un an et – 18 % comparé à…

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Sur ce 1^er semestre 2024, la demande placée de bureaux en Ile-de-France s’inscrit dans la lignée de 2023 avec 853.300 m² (- 5 % sur un an et – 18 % comparé à la moyenne décennale). Les volumes sont légèrement plus dégradés sur ce 2^èmetrimestre avec 408.700 m² placés (- 9 % sur un an) en raison du manque de grandes transactions > 5 000 m.  Compte tenu du contexte, les résultats sont finalement plutôt honorables avec 4,1 Mds € investis en immobilier d’entreprise. Mais il est très probable que l’inquiétude et l’incertitude générées par la situation économique et politique se traduisent notamment par un regain d’attentisme et un manque de confiance des investisseurs, devant alors naviguer à vue. Cela risque de réduire encore la liquidité de l’immobilier dans les mois qui viennent…

Près de 8 mois après avoir déposé le bilan, WeWork vient d’annoncer qu’elle n’est plus sous la protection du Chapitre 11 de la loi sur les faillites des États-Unis. Sa…

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Près de 8 mois après avoir déposé le bilan, WeWork vient d’annoncer qu’elle n’est plus sous la protection du Chapitre 11 de la loi sur les faillites des États-Unis. Sa restructuration lui a permis d’éliminer 4 milliards d’euros de dettes et de s’associer avec la compagnie américaine de logiciels de gestion immobilière Yardi Systems. Elle a également bénéficié de l’injection 450 millions de dollars dans l’entreprise de la part groupe japonais SoftBank.. La compagnie a également réduit de moitié ses obligations de loyers futurs, ce qui devrait lui permettre d’économiser 12 milliards de dollars dans les années à venir. Elle a par ailleurs lourdement réduit son portefeuille immobilier, passant de 770 à 600 sites dans le monde. Enfin, Adam Neumann, fondateur de WeWork a cédé sa place à John Santora, un vétéran de Cushman & Wakefield…

 

Le dernier Baromètre MSCI-BPCE Solutions Immobilières n’est guère plus optimiste que le précédent. Réalisé avant l’annonce de la dissolution, il prévoyait déjà la pours…

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Le dernier Baromètre MSCI-BPCE Solutions Immobilières n’est guère plus optimiste que le précédent. Réalisé avant l’annonce de la dissolution, il prévoyait déjà la poursuite de la baisse des transactions immobilières. Les investisseurs projettent un volume transactionnel de l’ordre de 10 Md€ sur l’année 2024. Inférieur, donc, à celui estimé en octobre dernier (16,5 Md€). Et conséquence des mauvais résultats enregistrés au premier trimestre. Dans les « out », le bureau périphérique, en région parisienne, arrive en tête. Plus de 80% des investisseurs interrogés estiment que les sommes qui y sont allouées devraient diminuer.  « Le bureau Paris, comme l’immobilier de santé, et même le résidentiel resteraient plutôt attractifs, dans une moindre mesure », souligne le baromètre MSCI-BPCE…

Les bureaux partagés ne sont plus réservés aux seuls travailleurs indépendants. Des entreprises établissent désormais leurs quartiers dans des espaces de travail…

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Les bureaux partagés ne sont plus réservés aux seuls travailleurs indépendants. Des entreprises établissent désormais leurs quartiers dans des espaces de travail premium, avec canapés moelleux, yoga et barista. L’espace de travail fait partie des arguments déployés pour attirer et de fidéliser les meilleurs candidats au même titre que le salaire et le rythme. En 2023, le NewGen Talent Centre de l’Edhec a publié une étude sur le rapport des jeunes au bureau. Si ils plébiscitent le télétravail perçu comme une marque de confiance, le bureau reste un lieu d’apprentissage et de rencontre, plus propice à la créativité, un lieu accessible à volonté, situé en centre ville avec des espaces hybrides adaptés pour des activités extraprofessionnelles…

 

Dans sa plus récente étude, Cushman & Wakefield note un ralentissement généralisé de l’activité immobilière des entreprises franciliennes sur la période 2021-2023 p…

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Dans sa plus récente étude, Cushman & Wakefield note un ralentissement généralisé de l’activité immobilière des entreprises franciliennes sur la période 2021-2023 par rapport à celle pré-Covid de 2017-2019, tant en volume placé ou en nombre de transactions. Des baisses qui s’expliquent selon l’étude par une forte réduction de la taille unitaire des surfaces prises à bail, en raison de la volonté des entreprises d’optimiser leurs surfaces de bureaux dans le cadre de l’adoption régulière du travail hybride pour leurs salariés. Beaucoup d’entreprises profitent de la période pour revoir la façon dont elles s’organisent et profitent d’un éventuel déménagement pour ajouter au télétravail du flex-office, en contrepartie desquels elles offrent à leurs collaborateurs une expérience nettement supérieure pour leur donner envie de revenir au bureau…