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Le luxe, la tech et l’ingénierie : voilà les secteurs qui attirent le plus les jeunes. Sur la première marche du podium des entreprises qui leur font envie : Apple,…

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Le luxe, la tech et l’ingénierie : voilà les secteurs qui attirent le plus les jeunes. Sur la première marche du podium des entreprises qui leur font envie : Apple, suivie de Google et L’Oréal. C’est ce qui ressort d’une étude menée fin 2024 auprès de 13.000 étudiants et jeunes diplômés de 18 à 30 ans. D’année en année, le top 10 de leurs entreprises préférées évolue peu. Quelques changements cette année cependant : alors que Decathlon était entré en 2022 dans le top 10 des entreprises préférées, il en sort cette année pour descendre à la 13^e place. A l’inverse, EDF qui n’était pas dans le top 10 ces dernières années, y entre à la 6^e place. « La rémunération et les avantages sociaux » sont les critères les plus souvent cités pour travailler dans une entreprise plutôt qu’une autre…

Le monde du travail subit une mutation accélérée. L’évolution technologique et les nouvelles attentes des employés en sont les moteurs principaux. Les services RH se p…

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Le monde du travail subit une mutation accélérée. L’évolution technologique et les nouvelles attentes des employés en sont les moteurs principaux. Les services RH se positionnent au cœur de ces changements. Ils doivent s’adapter et innover pour relever les défis émergents : La digitalisation des processus RH devient incontournable. L’automatisation des tâches administratives offre aux professionnels RH la possibilité de se concentrer sur des aspects plus stratégiques de leur fonction. Les plateformes d’e-learning gagnent en importance. La guerre des talents s’intensifie. Les entreprises repensent leurs stratégies d’attraction et de rétention. Le travail hybride et flexible est la nouvelle norme. Les entreprises doivent adapter leurs politiques et leurs infrastructures pour soutenir ces nouveaux modes de travail. La gestion d’équipes dispersées géographiquement pose de nouveaux défis en termes de communication, de collaboration et de maintien de la culture d’entreprise…

La notion de harcèlement moral institutionnel vient d’être définitivement consacrée par la Cour de cassation, 5 ans après sa première reconnaissance par le tribunal co…

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La notion de harcèlement moral institutionnel vient d’être définitivement consacrée par la Cour de cassation, 5 ans après sa première reconnaissance par le tribunal correctionnel de Paris. Désormais, un employeur peut être poursuivi pour avoir déployé, en connaissance de cause, une politique d’entreprise conduisant à dégrader les conditions de travail de ses salariés. Cette décision résonne tout particulièrement à l’heure où Orange, qui a remplacé France Télécom depuis 2013, fait face à une vague de suicides dans un contexte de restructuration. Désormais, les entreprises projetant, par tous les moyens possibles, une réduction de leurs effectifs ou l’atteinte d’un objectif managérial, économique ou financier précis, connaissent le risque associé à de tels agissements.

Alors que la semaine de 4 jours se démocratise progressivement en Europe, avec des essais réussis au Portugal et dans cinq autres pays, cette nouvelle organisation…

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Alors que la semaine de 4 jours se démocratise progressivement en Europe, avec des essais réussis au Portugal et dans cinq autres pays, cette nouvelle organisation du travail séduit autant les entreprises que les salariés. Elle promet une meilleure qualité de vie, des économies significatives et une optimisation des performances. Mais passer à une semaine de quatre jours n’est surtout pas à considérer comme une réduction du temps de travail : c’est surtout un défi d’efficacité. Il est essentiel d’optimiser chaque heure passée au travail. Pour y parvenir, les outils collaboratifs jouent un rôle crucial. En permettant aux employés de mieux équilibrer leur vie personnelle et professionnelle, cette organisation favorise leur bien-être mental et physique, ce qui se traduit par un engagement accru et une performance renforcée. Les économies réalisées sur les coûts fixes ajoutent un argument de poids en faveur de ce modèle…

En majorité, les Français gardent une relation au travail où l’objectif principal est de limiter au maximum son emprise sur leur vie. La plupart semblent considére…

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En majorité, les Français gardent une relation au travail où l’objectif principal est de limiter au maximum son emprise sur leur vie. La plupart semblent considérer que la qualité de vie s’oppose au travail. Non seulement les Français ne veulent pas travailler plus mais ils ne veulent plus venir sur leur lieu de travail. L’un des sujets essentiels est la difficulté croissante à faire en sorte que les acteurs se sentent intégrés dans le projet de l’entreprise. La plupart préfèrent rester à distance, tant émotionnellement que physiquement (voir le goût pour le télétravail). Or cette intégration doit se travailler à 3 niveaux. D’abord dans la vie quotidienne des salariés. Ensuite, dans la qualité relationnelle. Enfin, que chacun ait la conviction de contribuer à une finalité qui a du sens et qui rend fier…