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En 2023, ils se sont octroyé 11 % de part du marché global de l’isolation en France, selon l’Association des industriels de la construction biosourcée. La…

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En 2023, ils se sont octroyé 11 % de part du marché global de l’isolation en France, selon l’Association des industriels de la construction biosourcée. La réglementation environnementale sur la construction comme sur la rénovation encourage leur croissance avec en 2023 un chiffre d’affaires du secteur de 91,6 millions d’euros (à comparer à 59,1 en 2016), pour 28,2 millions de mètres carrés de produits biosourcés mis en oeuvre (14,5 millions de m² en 2016). Le marché a été avant tout porté par les isolants semi-rigides (47 %), que l’on retrouve essentiellement en isolation intérieure des bâtiments (murs, cloisons, rampants de toitures) et les isolants vrac (44 %), utilisés le plus souvent pour l’isolation des combles. Avec les perspectives d’investissements de la filière, cette capacité pourrait être portée à 80 millions de m² en 2030…

Une cartographie complète de la pollution dans le réseau de transport souterrain de la région parisienne a révélé mardi un niveau de concentration en particules fines…

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Une cartographie complète de la pollution dans le réseau de transport souterrain de la région parisienne a révélé mardi un niveau de concentration en particules fines « élevé » dans 13 stations, selon l’observatoire de l’air en Ile-de-France Airparif. Les stations les plus polluées se situent uniquement sur les lignes 2, 5 et 9 du métro et affichent des niveaux de concentrations en particules fines PM10 (diamètre inférieur à 10µm) supérieurs à 480 µg/m3. Ce seuil est le maximum recommandé par l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) à partir d’une heure d’exposition, qui est le temps moyen quotidien passé dans les transports par beaucoup de Franciliens. « Le type de matériel roulant, et notamment de freinage, exerce une grande influence sur les niveaux de pollution de l’air, avance Airparif…

L’immeuble «Essentiel 22-26» de Nexity, capable de garder une température intérieure confortable sans l’aide de radiateurs ou de climatiseurs, sortira de terre en 202…

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L’immeuble «Essentiel 22-26» de Nexity, capable de garder une température intérieure confortable sans l’aide de radiateurs ou de climatiseurs, sortira de terre en 2026 à Lyon dans le quartier de la Confluence, pour la «première» fois en France. En saison froide, le réchauffement des pièces est assuré par «la chaleur corporelle des occupants et celle dégagée par l’éclairage et les appareils électroménagers». Quand il fait plus chaud, le rafraîchissement se fait par une ventilation naturelle avec un volet piloté par un logiciel qui mesure la température, l’hygrométrie et la qualité de l’air dans l’immeuble via un réseau de capteurs. Enfin, ses murs en «briques alvéolaires de 60 cm d’épaisseur» et ses fenêtres «en triple vitrage» permettent une isolation thermique optimale et garantissent cette température intérieure d’une vingtaine de degrés…

Pas de climatiseurs pour le village olympique. C’est ce qu’avait déclaré Anne Hidalgo, maire de Paris et présidente de la Société de livraison des ouvrages olympiques…

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Pas de climatiseurs pour le village olympique. C’est ce qu’avait déclaré Anne Hidalgo, maire de Paris et présidente de la Société de livraison des ouvrages olympiques (Solideo) en février 2023. À quelques jours du début des Jeux, cet engagement ne semble cependant plus d’actualité. De nombreuses délégations ont annoncé qu’elles comptaient amener leur propre équipement, tandis que le comité d’organisation des jeux propose d’en commander directement sur place. Pour certains, cette décision traduit « une précaution excessive » et un manque de connaissance des réglementations thermiques en vigueur. De plus, ces climatiseurs pourraient bien avoir des effets indésirables : en rejetant la chaleur à l’extérieur des bâtiments, ils risquent de renforcer les effets d’îlots de chaleur urbain sur le village olympique…

Cela semble être une tendance de fond. À l’image du reste de la France, face à l’effondrement du secteur de la construction accentué par la raréfaction du foncier, de…

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Cela semble être une tendance de fond. À l’image du reste de la France, face à l’effondrement du secteur de la construction accentué par la raréfaction du foncier, de plus en plus d’entreprises du bâtiment se tournent vers la rénovation, dans tous les secteurs. Exemple en Bretagne. Les mises en chantier de logement sur les 7 premiers mois de 2023 ont chuté de 16,9%. Conséquence :  certains acteurs du bâtiment ont réorienté leur activité. Même les gros promoteurs immobiliers s’y mettraient. Au final, c’est un très bon choix car c’est un mouvement de fond, très profond, qui va perdurer. C’est la réglementation qui incite aussi à aller vers la rénovation. En outre, réhabiliter, ça a du sens…