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Selon l’étude réalisée par Xerfi France sous le titre « Le marché de la restauration collective : les stratégies des prestataires pour construire un modèle plus durab…

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Selon l’étude réalisée par Xerfi France sous le titre « Le marché de la restauration collective : les stratégies des prestataires pour construire un modèle plus durable et plus rentable », le CA du secteur devrait connaître une hausse de 1 % en volume entre 2025 et 2026 et de 2,5 % en valeur. Dans le même temps, confrontées à une pénurie de main-d’œuvre, les SRC font aussi face à une forte concurrence avec la restauration rapide, boulangerie, offre snacking de la grande distribution et les cantines digitales. Enfin, l’étude révèle que le fort de taux de rapprochement ayant eu lieu entre 2016 et 2023 (28) a repris avec l’acquisition de Dupont Restauration par Compass Group France en fin d’année 2024. Cette opération pourrait alors relancer une nouvelle vague de concentration entre SRC…

En ce début d’année, marqué par une inflation persistante, le budget alimentaire des consommateurs reste serré et notamment ses dépenses hors domicile. Face à cette réa…

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En ce début d’année, marqué par une inflation persistante, le budget alimentaire des consommateurs reste serré et notamment ses dépenses hors domicile. Face à cette réalité, Picadeli, spécialiste du fast-food sain et des salades en libre-service, a lancé l’Indice des Prix du Déjeuner. L’étude révèle que la dépense moyenne d’un déjeuner s’élève à 8,80 €, hors boissons et desserts. Un chiffre qui reflète des disparités selon les profils de consommateurs. Les hommes privilégient des repas économiques, avec 40 % d’entre eux considérant le prix comme un critère déterminant. À l’inverse, les femmes accordent une plus grande importance aux repas sains et légers. La tranche d’âge joue aussi un rôle clé : les jeunes (15-29 ans) optent davantage pour des repas copieux et savoureux (54 %), tandis que les plus de 45 ans privilégient des repas frais, sains et accessibles (54 %). En parallèle, apparaît le rôle croissant des supermarchés comme alternative aux restaurants traditionnels…

Pour mettre un terme à la fragilisation de leur modèle économique générée par la divergence entre les indices INSEE utilisés pour la revalorisation des prix des p…

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Pour mettre un terme à la fragilisation de leur modèle économique générée par la divergence entre les indices INSEE utilisés pour la revalorisation des prix des prestations de la restauration collective et l’évolution réelle du coût du travail et des prix des matières premières, les entreprises de la restauration collective ont travaillé à un index de révision des prix en partenariat avec la Direction des Affaires Juridiques des ministères économiques et financiers et l’INSEE, qui l’ont validé. Deux index sont désormais disponibles : l’un, destiné aux  services de restauration sur place, l’autre à la restauration livrée. Ils sont mis à jour mensuellement, publics et accessibles sur :  https://www.snrc.fr/lindice-du-secteur-de-la-restauration-collective/  Les 3 principaux indicateurs sont : le coût des aliments, celui du travail et celui d’éléments divers…

À partir du 1er janvier 2025, il n’est plus possible de faire ses courses alimentaires avec des titres-restaurants délivrés par les employeurs. C’est l’une des consé…

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À partir du 1er janvier 2025, il n’est plus possible de faire ses courses alimentaires avec des titres-restaurants délivrés par les employeurs. C’est l’une des conséquences de la motion de censure, votée début décembre à l’Assemblée nationale. Dans le projet de loi de finances du précédent exécutif, cette mesure devait pourtant être reconduite pour l’année 2025. En attendant la nouvelle mouture du texte d’ici mi-février, la règle historique s’applique, pour le plus grand bonheur des restaurateurs. C’est vite oublier que le titre-restaurant est avant tout un avantage pour le salarié. Si l’employeur doit prendre en charge entre 50 et 60 % de la valeur faciale du ticket, l’employé s’acquitte du reste du montant. Pourquoi ne pas lui laisser toute la liberté de dépenser cet argent comme il l’entend, tant que la finalité reste de se nourrir …

« Il ne faut pas se mentir, l’alimentation durable suscite, certes, un enthousiasme généralisé, mais bien plus pondéré dans les pays industrialisé qui souffrent du…

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« Il ne faut pas se mentir, l’alimentation durable suscite, certes, un enthousiasme généralisé, mais bien plus pondéré dans les pays industrialisé qui souffrent du contexte économique inflationniste », avance la directrice de la transition alimentaire et nutrition de Sodexo France. Précisons que pour cette 2ème édition, le baromètre intègre désormais l’Inde, aux côtés du Brésil, des Etats-Unis, de la France et du Royaume-Uni. Il met en évidence trois enseignements. 1-Les citoyens ont une très bonne image de l’alimentation durable dans tous les pays. 2-Le prix, le goût et la santé sont les trois leviers pour engager les consommateurs vers une alimentation durable. 3-Pour les consommateurs, ce sont les acteurs de la restauration qui sont les moteurs essentiels…