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Avis de tempête sur les taxis volants. Après des années d’euphorie et de levées de fonds monumentales, les signaux d’alerte se multiplient pour les fabricants…

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Avis de tempête sur les taxis volants. Après des années d’euphorie et de levées de fonds monumentales, les signaux d’alerte se multiplient pour les fabricants de ces engins 100 % électriques à décollage et atterrissage vertical (eVTOL, en jargon aéronautique). Pourquoi ce décrochage subit ? D’un côté, la certification des appareils par les régulateurs de l’aérien (FAA aux Etats-Unis, EASA en Europe) prend bien plus de temps que prévu. De l’autre, les acteurs du segment affichent une consommation de cash astronomique.De fait, le marché, au moins à court terme, apparaît trop étriqué pour faire vivre tous les projets de taxis volants et seuls quelques constructeurs de taxis volants devraient survivre à une bulle sur le point d’exploser…

Une large majorité des automobilistes, des conducteurs de deux-roues, des cyclistes et des piétons disent redouter les comportements à risque des autres, selon u…

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Une large majorité des automobilistes, des conducteurs de deux-roues, des cyclistes et des piétons disent redouter les comportements à risque des autres, selon un sondage Ipsos pour la Fondation Vinci Autoroutes En France, 57 % des conducteurs de motos et scooters reconnaissent ainsi emprunter les pistes cyclables, tandis que 12 % des automobilistes disent les utiliser pour s’arrêter ou stationner. Et le « sas vélo », cet espace réservé aux cyclistes devant de plus en plus de feux rouges depuis une vingtaine d’années, n’est pas toujours respecté. Par ailleurs, 68 % des automobilistes admettent passer au feu orange ou rouge, et 78 % utilisent leur téléphone au volant. Pour autant, les cyclistes et plus généralement les conducteurs de deux-roues ne sont pas en reste en matière de comportement non respectueux des règles…

Réalisé par l’IFOP auprès de 1 002 actifs français, le baromètre Alphabet France présente, pour la 8ème année consécutive, une photographie détaillée des déplacements p…

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Réalisé par l’IFOP auprès de 1 002 actifs français, le baromètre Alphabet France présente, pour la 8ème année consécutive, une photographie détaillée des déplacements professionnels entre domicile et bureau. 3 sur 4 actifs, utilisent une voiture pour se rendre en entreprise. Un taux similaire à celui de l’an passé (75 %) et qui stagne depuis 2020. La distance moyenne des trajets domicile-travail s’élève à 18 km pour un temps de 25 minutes, deux notions pratiquement inchangées par rapport à l’année dernière mais fluctuant selon les régions. Parmi ceux qui utilisent une voiture pour se rendre au travail, ils sont encore nombreux (88 %) à conduire un véhicule thermique contre 11% un véhicule électrifié (électrique ou hybride), soit 2 points de plus qu’en 2023. Cependant 8 actifs sur 10 sondés souhaitent une évolution dans les années à venir, notamment des trajets plus économiques (40 %), plus rapides (31 %) et plus écologiques (25 %)…

Selon les résultats de l’enquête menée par Viavoice pour American Express, 82% des équipes des entreprises de 50 à 99 salariés effectuent des déplacements pro…

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Selon les résultats de l’enquête menée par Viavoice pour American Express, 82% des équipes des entreprises de 50 à 99 salariés effectuent des déplacements professionnels, et 12% en effectuent à l’international. Le rapport met en lumière la perception du Business Travel par les dirigeants, nombreux à le considérer comme un vecteur de performance ou de croissance. Pour 56% des dirigeants, il est impossible pour leur entreprise de se développer sans déplacement professionnel, tandis que deux tiers (66%) considèrent les voyages d’affaires comme un vecteur de développement du chiffre d’affaires. Ils sont presque autant (65%) à considérer les déplacements professionnels comme nécessaires à la rencontre de clients et de prospects et 70% à les considérer comme un outil de fidélisation. Mais pour 35% des dirigeants interrogés en France, la gestion des coûts, des processus d’achats et de suivi des dépenses est devenu le principal défi lié aux déplacements professionnels…

Les fortes variations des dépenses de voyage observées d’une année sur l’autre en période post-pandémique, traduisant des phénomènes de rattrapage et des tarifs en fort…

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Les fortes variations des dépenses de voyage observées d’une année sur l’autre en période post-pandémique, traduisant des phénomènes de rattrapage et des tarifs en forte hausse, appartiennent au passé. Le 1er semestre de 2024 est sensiblement le même que celui de 2023 en matière de dépenses “travel” dans les entreprises, d’après l’AirPlus business travel index. La proportion de vols domestiques en Europe est passée de 32,2 % à 31,3 % en 2024. La durée moyenne d’un voyage d’affaires est de 5,8 jours, comme en 2023 (5,9 jours). La proportion de voyages courts d’une journée a légèrement diminué, passant de 6,8 à 6,7 %. Ces tendances (baisse des des vols domestiques et des A/R dans la même journée) sont certainement à mettre en relation avec des PVE plus vertueuses en matière environnementale. Mais eu égard à la modestie des variations, la marge de progression reste grande…