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  • Les e-mails c’est grave, docteur?

    Andrew Filev, CEO et fondateur de Wrike

    Andrew Filev,  - Facilities, site du Facility management

    Tout a déjà été dit sur les ravages que provoque cette dépendance aux e-mails auprès des professionnels en entreprise. Dans l’ordre, elle est une source de perte de temps, elle réduit la productivité et elle est une source non négligeable de frustration et de stress. Mais peu se sont encore demandé comment faire pour mettre fin à cette funeste dépendance. Voici quelques suggestions pour vous aider à en sortir.

    Premièrement, notez précisément le nombre de fois où vous vérifiez votre boîte mail chaque jour. D’éminents psychologues pensent que plus on mesure une action quelle qu’elle soit, plus on en prend conscience et on a de chances de la modifier.

    Ensuite, adoptez d’autres modes de communication en plus de l’e-mail. Vous avez peur qu’abandonner les e-mails vous fasse rater des messages importants ? Basculez une partie de vos échanges sur une plate-forme de travail collaboratif, ce qui vous rendra moins dépendant des e-mails pour vos communications sur des tâches ou des projets importants.

    Fixez-vous un objectif précis pour réduire votre dépendance aux e-mails (et écrivez le). Saviez-vous que d’après une étude menée par l’Université de Californie, si vous notez sur papier un objectif et si vous le partagez avec un ami ou collègue, vous avez 33 % de plus de chances de l’atteindre ?

    Mais surtout, n’abandonnez pas. Consolider une nouvelle habitude peut prendre un, deux, voire jusqu’à 9 mois pour être effectif !
    Dans votre cas, la nouvelle habitude que vous souhaitez installer vise à en remplacer une autre, bien enracinée, ce qui est beaucoup plus difficile. Mais cela ne doit pas vous arrêter.